Tout Paris

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Re: Tout Paris

► Cartoliste Tout-Paris classée par numéros
► Cartoliste Tout-Paris classée par arrondissements

TOUT PARIS - 3 – Ecluse du Canal St-Martin (Xe arrt.)

Nous avons précédemment publié ICI , une étude sur le Canal Saint-Martin et sur l’Ecluse des Morts, une des quatre doubles écluses qui y ont été mises en place en 1823-1825.
L’Ecluse dite des Récollets présentée ici, également double, est située en aval de l’Ecluse des Morts, entre le n°89 à 93 quai de Valmy et le n°100 à 106 quai de Jemmapes. Le cliché est pris de la passerelle de la rue Lancry où a été aménagé le pont tournant dit de la Grange-aux-Belles ; on aperçoit, au fond, l’ancien couvent des Récollets qui, agrandi, est devenu l’Hôpital militaire Saint-Martin.

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publié par zelig sam. 1 janv. 2022 17:26 ► ICI

Le passage des bateaux ou radeaux aux écluses sur le Canal Saint-Martin, qu’ils soient halés par traction à col d’homme ou par bateaux à vapeur, est fort heureusement bien réglementé. Nous avons réuni quelques-uns des articles de l’ordonnance du 10 mai 1865 prise par le préfet de police Symphorien Boitelle :
Navigation. — Passage aux écluses et au pont mobile de la Grange-aux-Belles. — Bateaux à vapeur. — Halage.
Art. 11. — La navigation sur le canal et le passage aux écluses s’effectueront librement depuis le lever jusqu’au coucher du soleil.
Art. 14. — Aussitôt leur arrivée au canal Saint-Martin, les conducteurs de bateaux, trains ou radeaux en donneront avis à l’éclusier et lui déclareront leur tirant d’eau.
L’éclusier leur délivrera un numéro d’ordre, sans lequel ils ne pourront être admis dans le canal et qui déterminera leur rang d’entrée.
Art. 15. — L’ordre de passage aux écluses est réglé ainsi qu'il suit :
1° Les bateaux employés au service des travaux de réparation du canal ;
2° Les bateaux blessés, qu’il importe de rendre à destination dans le plus bref délai ;
3° Les bateaux chargés pour le service de l’État ;
4° Les bateaux chargés de farines et de céréales ;
5° Les bateaux à vapeur ;
6° Les bateaux régulièrement autorisés à marcher en accélérés ;
7° Les bateaux et trains qui auront été remorqués par le toueur dans le quatrième bief ;
8° Les bateaux et trains halés.
Art. 24. — Les conducteurs de bateaux, trains ou radeaux les amarreront, suivant l’ordre de leur arrivée aux écluses, dans les espaces réservés à cet effet.
Art. 25. — Tout bateau, train ou radeau qui, arrivé près d’une écluse, ne pourra passer immédiatement, devra être rangé de façon à ne pas gêner le service de cette écluse.
Art. 26. — Tout conducteur de bateau, train ou radeau qui, arrivé près d’une écluse, aurait refusé de le faire écluser, ou qui n’aurait pas des haleurs prêts et en nombre suffisant, ne pourra s’opposer à ce qu’un autre bateau, train au radeau, passe avant son équipage.
Le bateau, train ou radeau qui aura été ainsi trématé reprendra rang aussitôt qu’il aura ses haleurs.
Art. 27. — On profitera autant que possible de la même éclusée pour faire passer deux bateaux montants et deux descendants.
Si l’écluse d’amont est pleine, les bateaux descendants passeront les premiers ; et dans le cas contraire, les bateaux montants auront la priorité. Les mariniers seront tenus d’exécuter les manœuvres prescrites dans ce but par les éclusiers.
Art. 28. — Les bateaux seront solidement amarrés à chaque extrémité pendant qu’on les éclusera ; on les fera ensuite sortir avec précaution ; en aucun cas on ne les attachera aux portes.
Chaque bateau sera muni de perches pour parer les chocs contre les bajoyers et les portes et pour aider à la sortie des écluses.
Art. 29. — Les bateaux, trains ou radeaux ne peuvent rester dans les écluses que le temps strictement nécessaire pour la manœuvre.
Art. 30. — Il est interdit à tous autres que les éclusiers de manœuvrer les ventelles et les portes d’écluses. Toutefois les mariniers pourront aider à la manœuvre, en se conformant aux ordres des éclusiers.
Art. 31 — Il est défendu de rester sur le tablier du pont mobile de Grange-aux-Belles pendant la manœuvre, et de passer sur les portes d’écluses autres que celles disposées à cet effet.
Sont exceptés de ces défenses les agents du service de la navigation, ceux du service municipal d’exploitation du canal, ainsi que toutes les personnes employées au service des bateaux, trains ou radeaux.

Pont tournant de la Grange-aux-Belles, passerelle Lancry et écluse des Récollets — Ecluse des Récollets prise du Pont tournant
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L’administration du Canal Saint-Martin a fait l’acquisition, dès avant 1855, d’un bâtiment à rez-de-chaussée, d’une superficie de 191 m² situé à l’angle du n°185 quai Valmy (devenu en 1880 le n°85-87) et de la rue Lancry, face à l’écluse des Récollets et au Pont tournant. Ces locaux à usage de bureaux, d’ateliers et de logement sont occupés par les agents du service du canal, à savoir le Garde-éclusier de ladite écluse, un ou deux assistants à celui-ci pour les manœuvres et un Contrôleur principal du canal.
Nous avons réussi à trouver les protagonistes qui étaient attachés à ce bâtiment éclusier dans les années 1860-1880, grâce au mariage de l’un d’entre eux, Baptiste-Désiré Louis.
Baptiste-Désiré Louis (3 juillet 1836-6 juillet 1901), s’est marié le 11 août 1863 dans le 10e arrt. avec Joséphine Mathilde Leleux, couturière demeurant 9 rue des Récollets ; dès 1856, Baptiste-Désiré Louis est attesté en tant qu’employé au canal Saint-Martin demeurant n°85 quai de Valmy, et y est donc toujours attaché lors de son mariage de 1863, auquel assistent quatre témoins dont trois sont directement liés au Canal Saint-Martin :
Louis-Henri-Hubert Poigin (1820-1896), marié avec Sophie Rieulette Lagneau, charpentier arrêté lors des événements de 1848 et relaxé, est, en 1863, le Garde éclusier de l’écluse des Récollets et demeure, à ce titre, en permanence, dans les locaux du 85 quai de Valmy. (1)
Philippe-Joseph Lambert, né en 1811, demeurant 2 boulevard Beaumarchais, attesté dès 1856 comme Contrôleur principal des recettes de l’Ecluse des Récollets, est confirmé dans cette fonction au mariage de 1863 et jusqu’en 1883.
— Le troisième témoin du mariage de Baptiste-Désiré Louis en 1863, n’est autre que l’oncle de celui-ci,
André-François Louis, né en 1801, demeurant dans la Maison éclusière du Quai de la Loire où il est Garde-éclusier de l’Ecluse de La Villette.

Ecluse des Récollets vue prise de la passerelle Bichat et Maison des gardes-éclusiers du 85-87 quai de Valmy
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(1) Si le Canal est fermé à la navigation la nuit, il n’en demeure pas moins impératif que les gardes-éclusiers surveillent les lieux nuit et jour. Ainsi, le dimanche 6 mars 1864, la présence du garde Louis-Henri-Hubert Poigin, à une heure du matin, a été fort utile :
— Une crue subite a fait déborder, dimanche vers une heure du matin, le bassin des Récollets ; l'eau, après avoir submergé la berge et le quai de Valmy, a envahi la rue de Lancry, inondant les trottoirs et se répandant dans les caves. Les passants, surpris, se sauvaient au plus vite. Le garde-écluses, prévenu par des agents, se hâta de lever les vannes des écluses, et en moins d'un quart d'heure les eaux s'étaient retirées. (Le Peuple 10 mars 1864)
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TOUT PARIS - 1861 - Rue Littré (VIe arrt.)

La rue Littré a été percée en 1881 et classée par décret le 10 juillet 1882. Elle ne comporte que 22 numéros.
Les deux immeubles de premier plan présentés sur cette carte, situés de part et d’autre de cette voie (n°22 rue Littré à gauche, n°21 à droite) forment l’angle avec la rue de Rennes (n°150 à gauche, n°148 à droite) ; ils ont été édifiés sur les plans de l’architecte
Léger Desmassias (1840-1893) présentés au service de l’urbanisme les 22 et 29 octobre 1881.
Le terrain de ces deux futures constructions appartenait à
Pierre Lapeyre (1824-1889), cantalien du Bougeard, entrepreneur mais également grand démolisseur, attitré du baron Haussmann pour notamment le boulevard Saint Germain et l’avenue de l’Opéra, puis de la moitié de l’Exposition Universelle de 1878 et enfin du Palais des Tuileries en 1879…
C’est donc Lapeyre qui se charge de la construction des deux immeubles de proue de la rue Littré, comme il s’est chargé, toujours en collaboration avec l’architecte Desmassias, d’une dizaine d’autre bâtiments parisiens.


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publié par zelig ven. 4 févr. 2022 11:55 ► ICI

Dès son achèvement en 1883, le rez-de-chaussée du n°22 rue Littré est affermé au bureau de Poste et télégraphe n°43, dont le sieur Labro est nommé le receveur.
Cent quarante ans après, la Poste y est toujours active.

Le rez-de-chaussée du n°21, en face, est tout d’abord loué, à partir de 1884, à Mlle Bigot qui y installe sa Brasserie de l’Armorique. En 1887, A. Lesne reprend l’établissement qui devient la Taverne Saint-Cyr. Lui succèdent ensuite une série de limonadiers : Ernest Lucas en 1892, Maréchal en 1894, Imart en 1900.
Auguste Imart (1868-1964), originaire de Puylaurens dans le Tarn, s’est marié en décembre 1898 avec Jeanne-Marie Grenet. En 1906, Imart cède la brasserie Saint-Cyr à la Société Générale qui y aménage son agence AK, laquelle était provisoirement installée, depuis 1897, dans des locaux situés au n°150 rue de Rennes.
De son côté, Auguste Imart reprend avec son épouse, la café restaurant de G. Garnier, situé à l’angle du n°21 boulevard Diderot / n°1 rue de Lyon.
Tout comme la Poste, la Société Générale n’a pas quitté cet emplacement de la rue Littré / rue de Rennes jusqu’à ce jour.

La Société générale, agence AK 148 rue de Rennes 21 rue Littré.
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TOUT PARIS - 655 - Eglise St-Laurent - Boulevard Magenta (Xe arrt.)
Collection F. Fleury


L’Eglise Saint-Laurent a été bâtie du XVe au XVIIe siècle.

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publié par zelig mer. 6 oct. 2021 17:19 ► ICI

Plan de Paris 1609, faubourgs Saint-Laurent et Saint-Lazare par Bénédict de Vasselieu, dit Nicolay Lyonnois, ingénieur ordinaire de la province de Guyenne en l’artillerie de France.
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TOUT PARIS - 2155 - Rue Lebon (XVIIe arrt.)

En second plan, à gauche, on aperçoit le Marché couvert des Ternes, situé aux 8 bis et 10 rue Lebon, que nous avons déjà étudié et décrit ICI

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publié par zelig mer. 2 juin 2021 11:03 ► ICI

Ce cliché est pris depuis le boulevard Pereire et nous présente, à droite le 21 rue Lebon, où sont installés un papetier et un boucher.
La librairie-papeterie est tenue depuis 1878 par
Joseph Charles Lescène (1810-1889), originaire de Gand en Belgique, qui est marié depuis le 27 mai 1843 avec Victorine Cornélie Lemarchant (1816-1891). Tous deux étant décédés successivement les 6 mars 1889 et 13 mai 1891, leur fille Cornélie Pauline Lescène (1854 – † après 1925) leur succède dans l’affaire.
L’année suivante, Cornélie Pauline se marie, le 22 mars 1892, avec
Louis Léon Alleaume (1843-1921), né à Notre Dame de Bliquetuit en Seine-inférieure. Tous deux tiennent cette papeterie jusqu’en 1901, la cédant à J. Bailly. Viennent ensuite L. Pecquet en 1910-1911, puis Aubert de 1912 à 1921…

21 Rue Lebon : Librairie papeterie L Pecquet en 1910-1911 — Louis Athanase Bizouard vers 1910-1912
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Louis Alexandre Bethmont est le premier boucher à prendre place au rez-de-chaussée gauche du n°21 rue Lebon. Bethmont est né à Sarcelles en 1869 où il est boucher lors de son mariage du 7 avril 1894, à Merru dans la Marne, avec Jeanne Fidéline Marthe Leclerc (née en 1873) ; l’année suivante ils demeurent 51 rue Bayen dans le XVIIe arrt où il est garçon boucher avant de prendre un droit de place de boucher dans le marché couvert des Ternes, place qu’il revend le 8 mai 1901 afin d’installer son étal de la rue Lebon en 1902.
Louis Alexandre Bethmont cède cette affaire en 1908 à
Louis Anathase Bizouard, et rachète, le 10 avril 1912, le matériel de boucherie pour s’installer au marché couvert de la rue des Moines, place 5 et 6. En 1922, Bethmont était toujours boucher à cet emplacement et demeurait 76 rue des Moines…

Avant d’acquérir le fonds de boucherie de la rue Lebon, Louis Anathase Bizouard était boucher au n°12 rue Julien Lacroix dans le 20e arrt., de 1900 à 1903, puis au n°52 rue d’Orsel dans le 18e arrt., de 1905 à 1907. Bizouard, né à Dijon en 1875 s’était marié le 17 octobre 1899 à Bligny-lès-Beaune Côte-d'Or avec Louise Elisabeth Latour qui en était originaire.
Les époux Bizouard ont tenu la boucherie Lebon jusqu’en 1914.

Aujourd’hui, la boucherie a cédé la place à une entreprise d’entretien et de dépannage de chaudière tandis que la librairie-papeterie est devenue une agence immobilière.
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TOUT PARIS - 47 - Chambre des Députés (VIIe arrt.)

► voir ici quelques renseignements sur le Palais Bourbon
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publié par rigouard jeu. 6 août 2020 06:27
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TOUT-PARIS - 794 - Canal Saint-Martin - Métro Station " Allemagne" (XIXe arrt.)
Collection F. Fleury

version noir et blanc
► voir ici version colorisée

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publié par zelig mar. 24 mai 2022 14:17 ► ICI
► voir ici quelques renseignements sur le Canal Saint-Martin

Extrait de l’ordonnance du 10 mai 1865 prise par le préfet de police Symphorien Boitelle réglementant la circulation des bateaux sur le Canal Saint-Martin :
Article premier. — Aucun bateau, train ou radeau circulant sur le canal Saint-Martin ne devra excéder les dimensions suivantes, mesurées de dehors en dehors, y compris le chargement, et sans aucune tolérance : Bateaux 42 m x 7,75 m — Trains et radeaux 40 m x 7,30 m.
Art. 5. — Les bateaux porteront à la poupe leur dénomination, le nom et le domicile du propriétaire.
Les trains ou radeaux porteront sur le pieu de nage ou sur l’oreille la marque du marchand dont ils sont la propriété.
Les inscriptions seront apparentes, en toutes lettres et en caractères ayant au moins 8 centimètres de hauteur. Elles seront peintes, ou sur le bordage, ou sur une planche fixée de manière à ne pouvoir être déplacée.
Art. 6. — Les besognes, marnois, lavandières et chalands d’une superficie de 200 mètres et d’une capacité de 300 tonnes et au-dessus auront, à charge complète, deux mariniers au moins à bord, et un au moins, s’ils sont à demi-charge ou vides.
Tous les autres bateaux d’une superficie et d’un tonnage inférieurs aux précédents, auront, en toutes circonstances, un marinier au moins à bord.
Les mousses ou fils de mariniers, âgés de quinze ans, pourront être employés à bord des bateaux comme hommes d’équipage.
Art. 7. — Tout conducteur de bateau, train ou radeau doit être muni d’une lettre de voiture en bonne forme, qu’il est tenu de représenter à toute réquisition aux agents de l’Administration.
Art. 10. — La navigation est interdite pendant la nuit sur le canal Saint-Martin.
Art. 17. — Le nombre d’hommes à employer pour le halage des bateaux, trains ou radeaux, est fixé par le tableau suivant :
Besognes, marnois, lavandières et chalands : 4 haleurs (chargés) ; 2 haleurs (vides)
Flûtes de Bourgogne, grandes toues dites cisclandes, péniches, belandres ardennais et petites lavandières : 3 haleurs (chargés) ; 1 haleur (vides) : 4 haleurs (chargés) ; 2 haleurs (vides)
Toues chênières, toues sapines, petites flûtes et barquettes : 2 haleurs (chargés) ;1 haleur (vides)
Couplage de flûtes de l'Ourcq et margotats de grandes dimensions : 2 haleurs (chargés) ; 1 haleur (vides)
Petits margotats : 1 haleurs (chargés) ; 1 haleur (vides)
Éclusées de bois à brûler, de charpente ou de sciage : 2 haleurs (chargés) ; 1 haleur (vides)
Art. 19. — Le halage aura lieu, de La Villette au bassin de l’Arsenal, sur la rive gauche, et dans le bassin de l’Arsenal, sur la rive droite.
Art. 20. — Tout bateau, train ou radeau allant dans un sens doit la moitié de la voie à tout bateau, train ou radeau allant dans le sens contraire.
Quand deux bateaux à vapeur se rencontrent, chacun se range à sa droite.
Si la rencontre a lieu entre un bateau à vapeur et un bateau halé, le bateau à vapeur se range du côté opposé au halage.
Quand des bateaux halés se rencontrent, l’un chargé, l’autre vide, le bateau vide se range du côté opposé au halage. Si les bateaux qui se rencontrent sont tous deux chargés, ou tous deux vides, le montant se tient du côté du halage.
Art. 22. — Tout bateau qui s’arrête doit laisser passer ceux qui le rejoignent, jusqu’à ce qu’il se remette lui-même en marche.


Quelques-unes des nombreuses interdictions.
Art. 70. — Il est défendu :
— De jeter ou de déposer dans le canal ou sur ses dépendances des immondices, pierres, graviers, bois, paille ou fumiers, résidus quelconques de chargement de bateaux, ni rien qui puisse en embarrasser ou atterrir le lit, et d’y planter aucun pieu ;
— De parcourir les berges et ports avec des voitures, des charrettes ou des bêtes de somme, à moins qu’elles ne soient employées au transport ou à l’enlèvement des marchandises ;
— D’abreuver les bestiaux au canal ;
— De remiser des voitures, charrettes, tombereaux ou haquets sur les ports et berges ;
— De ravager le fond de l’eau pour y chercher des vers à vase, des débris de métaux ou tous autres objets ;
— De noyer des animaux ou d’en jeter les cadavres dans le canal.
— De jeter les eaux de vidange des bateaux sur les talus des levées ou sur les murs de revêtement ;
— De glisser et de patiner sur la glace dans toute l’étendue du canal ;
— De se baigner dans le canal ;
— D’y laver du linge, d’en étendre ou faire sécher sur les ports et berges ;
— D’y puiser de l’eau, sans une autorisation spéciale du service municipal d’exploitation ;
Art. 74. — Dans la traversée d’une rive à l’autre, sur le pont mobile de Grange-aux-BelIes, les cochers et charretiers ne pourront conduire leurs chevaux autrement qu’au pas.
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TOUT PARIS - 1517 - Rue de Brochant (XVIIe arrt.)

Nous sommes à l’entrée de la rue Brochant qui fait face au Square des Batignolles.
En premier plan, au n°3 de cette voie, le rez-de-chaussée est affermé, à gauche à un commerce de papeterie et à droite à une teinturerie.

Cette papeterie, depuis sa première installation en 1893, n’a été occupée que par des femmes : Mme Boury de 1893 à 1896 ; Mlle Bénard de 1897 à 1902 ; Mme Docquier de 1903 à 1927 ; Mme Chambonnet en 1932…
La teinturerie a été créée en 1876 par
Louis Henri Victor Majorban et son épouse Marie Jaume.
Louis Henri Victor Majorban
(1814-1882) originaire de Wazemmes dans le Nord, s’était installé en 1835 à Neuilly-sur-Seine et s’y était marié avec Perrine-Virginie Babin (1816-1852). Dès son mariage, il est imprimeur sur tissus puis teinturier, marchand de bleu de savons et fabricant de produits chimiques à Neuilly au n°169 avenue de Neuilly, où il est encore attesté en 1863. Devenu veuf le 22 novembre 1852, il s’est remarié le 13 août 1853 avec Françoise-Joséphine Dumont et en a divorcé le 21 juin 1859 pour cause d’interdiction légale. Remarié en troisièmes noces avec Marie Jaume, Victor Majorban a ouvert une teinturerie à Paris en 1871 au n°15 rue Trézel (devenue rue du docteur Heulin) qu’il a tenue quatre ans avant de s’installer définitivement rue Brochant.
Après le décès de Majorban, le 18 juin 1882, sa veuve, Marie Jaume, tient l’affaire jusqu’en 1890 et la cède à M. Macé qui la revend à M. Blanc en 1893 ; celui-ci exploitait toujours cette teinturerie en 1914.
Signalée par son enseigne placardée au fronton des boutiques, Mme Vielle, couturière, installée au 1er étage de cet immeuble, qui confectionnait des robes et manteaux, y a été active 1905 à 1912.

Aujourd’hui, la papeterie est devenue un Coffee shop, la teinturerie une boutique de disques vinyle à l’enseigne All Access.

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publié par zelig lun. 17 janv. 2022 11:01 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS – 286 bis - Faubourg St-Antoine et Rue de Charenton - Place de la Bastille (XIe et XIIe arrts.)

► voir ici quelques renseignements sur la Maison Pépin du 1 rue du faubourg Saint-Antoine
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publié par zelig dim. 6 févr. 2022 11:20 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS - 459 - Rue des Amandiers à l'Avenue Gambetta (XXe arrt.)

La rue des Amandiers commence à cet emplacement baptisé place Auguste-Métivier.
A droite sur ce cliché, le bâtiment du n°2 rue des Amandiers donne également sur le n°1 avenue Gambetta. Le liquoriste du rez-de-chaussée, A. Germain, a acquis ce fonds de distillation en 1901 auprès du sieur Steinmetz, lequel le tenait de Meuleau depuis le 15 septembre 1897.
En 1908, Germain vend son affaire à Henri-Jacques Claveill qui la cède à Allard le 7 octobre 1911…
A ce jour, un café brasserie y est installé à l’enseigne « Les Polissons ».

En vis-à-vis, au n°11 avenue Gambetta, l’Epicerie de choix, « Vins fins et ordinaires, Cacao Van Houten » appartient à Louis-François Larpenteur depuis le 15 avril 1893 pour l’avoir acquise de M. Aubin. Le 31 octobre suivant, Louis-François Larpenteur (né le 29 octobre 1869 à Saint-Mammès) épouse Marie Mauny (née à Paris 20e le 30 novembre 1873).
Le couple Larpenteur conserve cette épicerie pendant 12 ans avant de la vendre au sieur Arnaut en 1905 ; succèdent ensuite Doucet de 1906 à 1909, puis Jouvenelle à partir de 1910.
En lieu et place de cette épicerie, se trouve aujourd’hui, une Menuiserie-serrurerie.


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publié par zelig jeu. 9 déc. 2021 17:29 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS - 1987 - Carrefours Gambetta et Amandiers (XXe arrt.)

Nous avons eu l’occasion d’étudier et commenter, ci-dessus, la présente carte, dans une vue plus rapprochée.
Ce carrefour a été baptisé place Auguste Métivier, par arrêté préfectoral du 28 octobre 1910.


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publié par zelig dim. 3 oct. 2021 12:04 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS - 744 - Avenue de Châtillon (XIVe arrt.)
Collection F. Fleury


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publié par zelig mer. 29 sept. 2021 10:37 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT-PARIS - 854 – La Rue Caulaincourt à la Rue Lamarck (XVIIIe arrt.)
Collection F. Fleury


Cette carte présente la rue Caulaincourt à hauteur du n°111, à l’angle de l’escalier de la rue des Saules. En face, la rue Caulaincourt se poursuit en montant à gauche, tandis que la rue Lamarck emprunte la voie descendant à droite.
L’immeuble en pierre de taille au n°111 (anciennement n°99 jusqu’en 1900) a été édifié sur les plans de l’architecte rémois installé à Paris,
Gustave-André Gridaine (1836-1903), créateur de près d’une centaine d’immeubles parisiens du même type. Le permis d’y construire a été délivré le 6 avril 1897.
Les exploitants de la boulangerie tout comme de la papeterie-mercerie du rez-de-chaussée sont, dès la prise à bail de ces locaux, d’une grande instabilité. Ainsi de 1901 à 1914, on compte cinq boulangers qui se succèdent : Hénin de 1901 à 1903 ; Champion en 1904 ; Lévêque de 1905 à 1907 ; Vaillant de 1908 à 1911 et Demarcq en 1913 et 1914.
La papeterie tente même d’ajouter à sa banne mobile l’activité de « magasin de nouveautés » mais ne fait guère mieux : Fritz de 1899 à 1901 ; Goebel en 1902 et 1903 ; Rouault en 1904 ; Guiperon de 1905 à 1907 ; Fousset de 1908 à 1910 ; Mlle Fleury de 1911 à 1913 et Mlle Arnoux en 1914.

La boulangerie est toujours active aujourd’hui, sous l’enseigne « Les Deux Frères ». Le magasin de nouveautés-papeterie-mercerie a, quant à lui, laissé sa place au Salon de coiffure « Goretti ».


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publié par zelig mar. 26 juil. 2022 11:07 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS - 1349 - Rue d'Avron (XXe arrt.)
Collection F. Fleury


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publié par zelig lun. 21 févr. 2022 14:22 ► ICI

Ce cliché est pris au niveau, à gauche, de l’immeuble du n°57 rue d’Avron dont le porche central, surmonté d’une fenêtre cintrée, est entouré par une boulangerie tenue par Dagonneau de 1904 à 1908 et par Gérard, marchand de vins de 1896 à 1908.
Ce cliché est à rapprocher de celui publié, en son temps, par James, où on voit en gros plan l’immeuble du n°54 rue d’Avron et l’entrée des « Bains Simple et Sulfureux » du n°52, visibles en arrière-plan droite de la présente carte.


213 - Tout Paris - Rue d'Avron (XXe arrt)
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publié par Mektoube 17 dim. 10 mars 2013 18:23

Cet établissement de bains-lavoir a été ouvert en 1870 par Jean-Baptiste Anatole Cantin (1839-1895), maître de bains, et son épouse Lucie Catherine Lander (1824-1899). Le 10 janvier 1877, Cantin est déclaré en faillite et se reconvertit aussitôt ébéniste au n°148 boulevard de Charonne.
Le syndic de liquidation adjuge l’affaire à
Eugène Laurent Dubos (1850-1911) marié depuis le 1er octobre 1872 avec Marie Euphrasie Dumain. Dubos ne fait guère long feu dans son bains-lavoir de la désormais rue d’Avron (rue de Montreuil jusqu’au 31 janvier 1877) puisqu’il est à son tour mis en faillite le 14 mai 1878.
Dès le 15 juin 1878 le lavoir et bains publics est vendu par adjudication sur une mise à prix de 20.000 francs pouvant être baissée. C’est le "négociant en bijouterie"
Victor-Marie-Jean-Baptiste Muller (1845-1922) qui en est déclaré adjudicataire ; par précaution, son épouse Sophie-Emma Hagenstein, strasbourgeoise née en 1850, fait une demande en séparations de biens le 17 septembre 1880, tout en restant toutefois au domicile conjugal (lors du décès de Muller le 4 juin 1922, ils étaient toujours mariés).
En 1884, Muller cède son commerce à
C. Yon qui rejoint la grande famille des faillis dès le 12 novembre 1885.
Le 15 janvier 1886 a lieu l’adjudication du droit au bail, de la clientèle, de l’achalandage et du matériel du lavoir, mis à prix 32.000 francs ; celui-ci est adjugé à
M. Leblanc qui le baptise du nom de Lavoir et bains Jouvence.
De 1896 à 1907, un certain
Bernard lui succède. En 1908, E. Dannery rachète ce fonds de commerce mais se trouve lui aussi mis en faillite le 5 novembre 1909 ; cependant, il est sauvé in extremis le 3 décembre 1909, le Tribunal de Commerce de la Seine ayant annulé le premier jugement de faillite et replacé le sieur Dannery au même et semblable état qu’avant icelui.
Les Lavoir et Bains de Jouvence passent ensuite aux mains de Girard en 1914, et de Salard de 1922 à 1932…
Aujourd’hui, un petit immeuble locatif a été construit à cet emplacement.
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS – 111 M - Monument de Strasbourg - Place de la Concorde (VIIIe arrt.)

Le 23 mai 1834, la Chambre des députés adopte le projet de loi relatif aux travaux d’embellissement de la Place de la Concorde par 101 boules blanches contre 5 noires. C’est l’architecte Jacques Hittorff (1792-1867) qui est chargé de ces aménagements pour un budget d’un million cinq cent mille francs.
Huit figures colossales allégoriques représentant les principales villes françaises seront érigées sur les guérites et pavillons déjà en place, une fois restaurés, situés aux quatre angles de la place : Lille et
Strasbourg seront exécutés par Jean-Jacques dit James Pradier (1790-1852), Bordeaux et Nantes par Louis Denis Caillouette (1790-1868), Brest et Rouen par Jean-Pierre Cortot (1787-1843) et Lyon et Marseille par Pierre Petitot (1760-1840).
Le 24 juillet 1838, le journal
Le Commerce annonce que les statues « Lille et Strasbourg sont achevées :
— Deux des statues qui doivent concourir à la décoration de la place de la Concorde, la Ville de Lille et la Ville de Strasbourg, exécutées toutes deux par M. Pradier, ont été découvertes. Ces deux statues, placées en face du ministère de la marine, sont assises. Des rochers leur servent de siège ; leurs pieds reposent sur une pièce de canon, et elles portent à la main, l’une un glaive, l’autre une courte épée à la romaine. Nous n’avons pas la prétention de juger aujourd’hui le mérite artistique de ce travail sur lequel nous reviendrons lorsque les six autres statues seront découvertes, ce qui parait ne pas devoir se faire attendre long-tems.

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publié par zelig sam. 6 août 2022 17:34 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS – 174 M - Place de la Concorde (VIIIe arrt.)

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publié par zelig dim. 14 août 2022 10:34 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT-PARIS - 697 - Rue Condorcet à la Rue Rodier (IXe arrt.)
Collection F. Fleury


Au premier plan gauche le « Bois-charbons » du n°46 rue Condorcet est tenu, à la date de ce cliché, par le marchand de vins M. Poulaillon. Lui fait face, au n°44 Condorcet, à l’angle du n°54 rue Rodier, Jules Alexandre Chambault, également cafetier qui propose des Huîtres en Grand arrivage ainsi que des Escargots ; celui-ci a acquis ce fonds de commerce du sieur Champeaux le 9 juin 1904.
Jules-Alexandre Chambault (1879-1969), originaire de Fublaines en Seine-et-Marne, s’est marié, une dizaine de jours avant, le 31 mai 1904, avec Clémence Pauline Fournier (1885-1958) née à Mirebeau dans la Vienne, où son père était aubergiste.
Le 20 novembre 1909, les époux Chambault revendent l’affaire à Robelin qui la tiendra jusqu’après 1914.

En vis-à-vis, à l’angle du
n°43 rue Condorcet / n°52 rue Rodier, le bel étalage d’épicerie est affermé depuis 1902 à Pierre Billoué, lequel tient une seconde affaire similaire depuis 1897 au n°74 avenue Ledru-Rollin.
Pierre Billoué (1860-1929), originaire de Brinay dans la Nièvre, est marié en secondes noces depuis le 4 novembre 1893 avec Alphonsine Vitaline Roussel, née en 1871 à Longnes dans les Yvelines.
Le 29 août 1907 Pierre Billoué se défait de ses deux épiceries : celle du 43 rue Condorcet est cédée à M. Genlis, tandis que M. Dubois acquiert le 74 avenue Ledru-Rollin.

Aujourd’hui, aux huîtres et escargots s’est substituée une boutique de vêtements féminin à l’enseigne « Marie-Sixtine » ; de son côté, l’épicerie est devenue une supérette Franprix.


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publié par zelig ven. 29 avr. 2022 15:59 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS - 1070 bis - Gare de Vincennes (XIIe arrt.)

Voir ► ICI quelques renseignements sur la Gare de Vincennes.
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publié par rigouard ven. 2 juil. 2021 15:39 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS - 365 - Les Serres de la Ville de Paris au Pont de l’Alma - Les Joutes (VIIe arrt.)

Voir ► ICI quelques renseignements sur les Serres de la Ville de Paris.

D’ordinaire les joutes lyonnaises sur la Seine se déroulaient chaque année en juillet dans le bassin de l’Hôtel-de-Ville. Celles organisées ici, devant le port du Gros-Caillou, étaient peu fréquentes.

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publié par zelig ven. 1 avr. 2022 11:45 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS - 473 - La Rue Edouard-Jacques au Carrefour de la Rue du Château (XIVe arrt.)
Collection F. Fleury


Nous avons donné ►ICI une description de l’avenue Couesnon devenue la rue Edouard-Jacques.

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publié par zelig jeu. 13 mai 2021 17:01 ► ICI
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Re: Tout Paris

TOUT PARIS 1089 - Panorama, Gare de Vincennes et Gare de Lyon (XIIe arrt.)
Collection F. Fleury


Voir ► ICI quelques renseignements sur la Gare de Vincennes.

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publié par zelig dim. 31 oct. 2021 11:57 ► ICI
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