Côte d'Emeraude
St-MALO. - Grand Hotêl de France et de Chateaubriand.
éditeur ? pas voyagée.
Saint-Malo - Hôtels
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Mektoube 17
Saint-Malo - Hôtels
Série de cartes postales anciennes des Hôtels de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine, 35).
Côte d'Emeraude
St-MALO. - Grand Hotêl de France et de Chateaubriand.
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Côte d'Emeraude
St-MALO. - Grand Hotêl de France et de Chateaubriand.
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Saint-Malo - Hôtels
1473 – 6 – Saint-Malo - Hôtel Franklin - ELD
Le Grand Hôtel Franklin, situé sur le Sillon, a été édifié en 1861 par l’architecte Jolliet et l’entrepreneur Pau, sur l’emplacement d’anciens chantiers, avec l’apport des capitaux de la Société des Bains de Mer de Saint-Malo, fondatrice du Casino.
Propriété de la société James, Fourchon, Maillard et Cie, l’hôtel est dirigé en 1868 par James, tandis que Maillard dirige l’Hôtel de la Paix de la rue Saint-Thomas.
De 1881 à 1887, Léon-Marie Laferrière (1847-1887) et son épouse Caroline Eveline Léontine Paturel en reprennent la direction…
L’Hôtel est surélevé en 1922, avant d’être transformé en appartements à partir de 1953.
Le Grand Hôtel Franklin, situé sur le Sillon, a été édifié en 1861 par l’architecte Jolliet et l’entrepreneur Pau, sur l’emplacement d’anciens chantiers, avec l’apport des capitaux de la Société des Bains de Mer de Saint-Malo, fondatrice du Casino.
Propriété de la société James, Fourchon, Maillard et Cie, l’hôtel est dirigé en 1868 par James, tandis que Maillard dirige l’Hôtel de la Paix de la rue Saint-Thomas.
De 1881 à 1887, Léon-Marie Laferrière (1847-1887) et son épouse Caroline Eveline Léontine Paturel en reprennent la direction…
L’Hôtel est surélevé en 1922, avant d’être transformé en appartements à partir de 1953.
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Re: Saint-Malo - Hôtels
Saint-Malo - Hôtel de la Digue - Entrée avenue du Sillon
Edition Aubert
Edition Aubert
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Re: Saint-Malo - Hôtels
221 - Saint-Malo - La Promenade du Sillon et l'Hôtel Franklin - LL.
- Classement : 15.79%
Re: Saint-Malo - Hôtels
627 - Saint-Malo - La Plage, le Casino et l'Hôtel Franklin - HLM
- Classement : 15.79%
Re: Saint-Malo - Hôtels
475 - Saint-Malo – L’Hôtel de l'Univers et l'Annexe – ND Phot
L’Hôtel de l’Univers est construit en 1850 sur la travée ouest de la place Chateaubriand, mitoyen avec le très actif et bruyant Grand Café des Voyageurs. Attesté dès avant 1868 comme appartenant à Armand François Viguier (1831-1916), originaire de Chartres, marié en 1859 à Saint-Malo avec la malouine Cézarine Marie Defoligné (1835-1904), l’hôtel reste très sobre dans ses annonces publicitaires, indiquant sa situation près de la plage et des bains, qu’il est fréquenté par les familles et le commerce, et qu’il est desservi par l’omnibus à la gare.
En 1882, l’Hôtel de l’Univers devient la propriété d’Alexandre Chottin (sur les actes d’état-civil, orthographié Chotin) (1842-1922), né à Saint-Flovier en Indre-et-Loire, marié le 25 avril 1881 avec Alphonsine Loiseau, née en 1857 à Ménars. Viguier, quant à lui, deviendra par la suite premier adjoint au maire de Saint-Malo et administrateur des hospices.
Chottin indique dans ses publicités avoir réuni dans son hôtel, tout le confort moderne, salle de bains, téléphone, garage pour automobiles et cycles. En 1897, il prend en surplus, la direction de l’Hôtel de France et de Châteaubriand situé sur la place Chateaubriand et exploite ses deux hôtels jusqu’en 1903. Alexandre Chottin décédera le 1er février 1922 à Dinard, à l’embarcadère des nouvelles vedettes.
L’Hôtel de l’Univers est racheté en 1903 par Adrien Malapert. En pleine expansion grâce au tourisme, il reprend les quatre étages de l’immeuble situé à l’angle de la rue Saint-Thomas et de la place Chateaubriand afin d’y installer une Annexe de l’Hôtel de l’Univers. A l’instar de bien des commerçants, il subira cependant la double sanction d’être mobilisé et de voir son affaire dégringoler.
La promiscuité de l’Hôtel de l’Univers avec les terrasses du Grand Café des Voyageurs qui empiètent en permanence sur le parvis de son propre établissement entraînent de nombreuses réclamations d’Adrien Malapert auprès de la municipalité. Ainsi, lors de la séance du conseil municipal du 24 septembre 1921, Alphonse Henri Gasnier-Duparc, maire de Saint-Malo, donne lecture des diverses lettres de protestation, adressées par Malapert, contre les autorisations nouvelles données aux cafés, contre l’interdiction aux autos de stationner sur la place ; un des conseillers municipaux, Victor Maisonneuve, se contente de prendre simplement acte des protestations de M. Malapert qui semblent tomber dans les oubliettes.
Ne s’avouant pas vaincu, Malapert adresse à nouveau, le 24 août 1925, au maire malouin, une lettre ouverte publiée dans le journal Ouest-Eclair, pour lui demander d’en finir une bonne fois avec la question des terrasses. Il déclare que c’est pour réagir contre l’état de choses actuel qu’il a volontairement encombré la place de tables, d’échelles doubles et de tréteaux pour être gratifié d’une contravention qui lui aurait permis de réclamer son droit en justice. M. Malapert n’a pu obtenir satisfaction, le commissaire de police n’ayant pas dressé procès-verbal, mais il ajoute qu’il provoquera de nouveaux incidents jusqu’à ce qu’il obtienne la possibilité de rentrer chez lui librement et à toute heure en saison. Malapert demande au Maire de faire remettre à tous les intéressés, un exemplaire du plan d’ensemble des concessions des terrasses de la place Chateaubriand dressé il y a quelques années, afin que chacun respecte les droits de son voisin et que la police puisse veiller à l’application stricte des décisions prises.
Peu après ces incidents, Malapert cède l’Hôtel de l’Univers, en 1926, à Louis-Honoré-Jean Perrault (1893-1989), né dans le 20e arrt. à Paris, où son père était paveur, marié le 6 avril 1920 avec Julienne Eugénie Lamotte (1894-1986). Peu après leur mariage, Perrault et son épouse s’installent à Avranches et acquièrent l'Hôtel de France et de Londres Réunis rue du docteur Gilbert, établissement qu’ils donnent en gérance en juin 1926, afin de reprendre l’Hôtel de l’Univers de Saint-Malo.
Perrault ne restera pas les deux pieds dans le même sabot : en tant que traiteur, il organise de nombreux banquets (120 à 200 convives) dans son hôtel, accompagnés d’attractions musicales et comiques notamment avec les anciens combattants, et surtout avec les membres de l’Aero-Club de la Côte d’Emeraude dont il devient le président à partir de 1933. Depuis cette date et jusqu’en 1939, Perrault organise chaque année dans son salon, le bal du Rotary Club de la Côte d’Emeraude.
En 1934, Perrault règle définitivement le problème de l’occupation des Terrasses de la place Chateaubriand en acquérant le Grand Café des Voyageurs. Il n’avait d’ailleurs pas attendu très longtemps après avoir acquis l’Hôtel de l’Univers, pour y installer devant son propre parvis une immense terrasse avec des dizaines de tables et chaises.
Divorcé à Saint-Malo le 6 juin 1968, Perrault se remarie le 28 août 1968 avec Madeleine Alexandrine Papouin (1920-2016), et décède à Saint-Malo le 23 février 1989… Madeleine Perrault Papouin restera propriétaire du Grand Café des Voyageurs jusqu’à son décès en 2016.
L’Hôtel de l’Univers, toujours actif, a été racheté en 2000 par la société l’Univers qui est dirigée actuellement et depuis 2009 par Michel Bazin et son fils, Johann.
L’Hôtel de l’Univers est construit en 1850 sur la travée ouest de la place Chateaubriand, mitoyen avec le très actif et bruyant Grand Café des Voyageurs. Attesté dès avant 1868 comme appartenant à Armand François Viguier (1831-1916), originaire de Chartres, marié en 1859 à Saint-Malo avec la malouine Cézarine Marie Defoligné (1835-1904), l’hôtel reste très sobre dans ses annonces publicitaires, indiquant sa situation près de la plage et des bains, qu’il est fréquenté par les familles et le commerce, et qu’il est desservi par l’omnibus à la gare.
En 1882, l’Hôtel de l’Univers devient la propriété d’Alexandre Chottin (sur les actes d’état-civil, orthographié Chotin) (1842-1922), né à Saint-Flovier en Indre-et-Loire, marié le 25 avril 1881 avec Alphonsine Loiseau, née en 1857 à Ménars. Viguier, quant à lui, deviendra par la suite premier adjoint au maire de Saint-Malo et administrateur des hospices.
Chottin indique dans ses publicités avoir réuni dans son hôtel, tout le confort moderne, salle de bains, téléphone, garage pour automobiles et cycles. En 1897, il prend en surplus, la direction de l’Hôtel de France et de Châteaubriand situé sur la place Chateaubriand et exploite ses deux hôtels jusqu’en 1903. Alexandre Chottin décédera le 1er février 1922 à Dinard, à l’embarcadère des nouvelles vedettes.
L’Hôtel de l’Univers est racheté en 1903 par Adrien Malapert. En pleine expansion grâce au tourisme, il reprend les quatre étages de l’immeuble situé à l’angle de la rue Saint-Thomas et de la place Chateaubriand afin d’y installer une Annexe de l’Hôtel de l’Univers. A l’instar de bien des commerçants, il subira cependant la double sanction d’être mobilisé et de voir son affaire dégringoler.
La promiscuité de l’Hôtel de l’Univers avec les terrasses du Grand Café des Voyageurs qui empiètent en permanence sur le parvis de son propre établissement entraînent de nombreuses réclamations d’Adrien Malapert auprès de la municipalité. Ainsi, lors de la séance du conseil municipal du 24 septembre 1921, Alphonse Henri Gasnier-Duparc, maire de Saint-Malo, donne lecture des diverses lettres de protestation, adressées par Malapert, contre les autorisations nouvelles données aux cafés, contre l’interdiction aux autos de stationner sur la place ; un des conseillers municipaux, Victor Maisonneuve, se contente de prendre simplement acte des protestations de M. Malapert qui semblent tomber dans les oubliettes.
Ne s’avouant pas vaincu, Malapert adresse à nouveau, le 24 août 1925, au maire malouin, une lettre ouverte publiée dans le journal Ouest-Eclair, pour lui demander d’en finir une bonne fois avec la question des terrasses. Il déclare que c’est pour réagir contre l’état de choses actuel qu’il a volontairement encombré la place de tables, d’échelles doubles et de tréteaux pour être gratifié d’une contravention qui lui aurait permis de réclamer son droit en justice. M. Malapert n’a pu obtenir satisfaction, le commissaire de police n’ayant pas dressé procès-verbal, mais il ajoute qu’il provoquera de nouveaux incidents jusqu’à ce qu’il obtienne la possibilité de rentrer chez lui librement et à toute heure en saison. Malapert demande au Maire de faire remettre à tous les intéressés, un exemplaire du plan d’ensemble des concessions des terrasses de la place Chateaubriand dressé il y a quelques années, afin que chacun respecte les droits de son voisin et que la police puisse veiller à l’application stricte des décisions prises.
Peu après ces incidents, Malapert cède l’Hôtel de l’Univers, en 1926, à Louis-Honoré-Jean Perrault (1893-1989), né dans le 20e arrt. à Paris, où son père était paveur, marié le 6 avril 1920 avec Julienne Eugénie Lamotte (1894-1986). Peu après leur mariage, Perrault et son épouse s’installent à Avranches et acquièrent l'Hôtel de France et de Londres Réunis rue du docteur Gilbert, établissement qu’ils donnent en gérance en juin 1926, afin de reprendre l’Hôtel de l’Univers de Saint-Malo.
Perrault ne restera pas les deux pieds dans le même sabot : en tant que traiteur, il organise de nombreux banquets (120 à 200 convives) dans son hôtel, accompagnés d’attractions musicales et comiques notamment avec les anciens combattants, et surtout avec les membres de l’Aero-Club de la Côte d’Emeraude dont il devient le président à partir de 1933. Depuis cette date et jusqu’en 1939, Perrault organise chaque année dans son salon, le bal du Rotary Club de la Côte d’Emeraude.
En 1934, Perrault règle définitivement le problème de l’occupation des Terrasses de la place Chateaubriand en acquérant le Grand Café des Voyageurs. Il n’avait d’ailleurs pas attendu très longtemps après avoir acquis l’Hôtel de l’Univers, pour y installer devant son propre parvis une immense terrasse avec des dizaines de tables et chaises.
Divorcé à Saint-Malo le 6 juin 1968, Perrault se remarie le 28 août 1968 avec Madeleine Alexandrine Papouin (1920-2016), et décède à Saint-Malo le 23 février 1989… Madeleine Perrault Papouin restera propriétaire du Grand Café des Voyageurs jusqu’à son décès en 2016.
L’Hôtel de l’Univers, toujours actif, a été racheté en 2000 par la société l’Univers qui est dirigée actuellement et depuis 2009 par Michel Bazin et son fils, Johann.
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Re: Saint-Malo - Hôtels
Saint-Malo - Hôtel Central - Façade sur la Grande Rue
L’Hôtel Central Benoît est situé au n°12 Grande Rue, à l’angle du n°5 rue des Marins. Il est devenu, en 1896, la propriété d’Emile Benoît qui lui a donné son nom.
Emile Théodore Benoît est né à Saint-Maurice près de Vincennes le 9 novembre 1857 ; son père Cléophas Lucien Benoît y était scieur à la mécanique et sa mère, Adelina Mélina Moussy, blanchisseuse de fin.
Devenu bijoutier à Paris, avec son frère Adrien, et demeurant au n°129 rue de Sèvres, il se marie le 17 octobre 1885 avec Victorine Gabrielle Fabre.
Peu avant le conflit 1914, Emile Benoît cède son hôtel restaurant et décède au n°83 rue Daguerre dans le 14e arrt., le 2 janvier 1916.
Un de ses successeurs sera un certain Huard, attesté en 1922, puis A. Serreau (vice-consul de l’Union Vélocipédique de France U.V.F.) de 1929 à 1939…
Cet hôtel est toujours existant aujourd’hui sous l’enseigne « La Maison des Amateurs » ; après d’importants travaux, il a ouvert ses 45 chambres rénovées le 3 juillet 2012 et a obtenu ses 4 étoiles en avril 2013 ; la Grande Rue ayant été renumérotée, il se trouve à présent au numéro 6.
Concours du Bon Hôtelier
Ouvert aux hôtels dont le tarif moyen ne dépasse pas 10 francs par jour.
La Commission s'est réunie au Siège social le 29 octobre, sous la présidence de M. Henry Deustch (de la Meurthe), président.
Après avoir pris connaissance des rapports présentés par les membres de la Commission et des notes fournies par le « Service des hôtels » la Commission a attribué une cote à chacun des hôtels concurrents et procédé à un classement général.
Après nouvelle sélection elle a arrêté, comme suit, la liste des lauréats :
PRIX TITULAIRES : Grand prix. Mille francs, offerts par le Touring-Club de France à M. Benoît, Hôtel Central Benoît, à Saint-Malo.
(Revue mensuelle du Touring-Club de France 1er novembre 1908)
L’Hôtel Central Benoît est situé au n°12 Grande Rue, à l’angle du n°5 rue des Marins. Il est devenu, en 1896, la propriété d’Emile Benoît qui lui a donné son nom.
Emile Théodore Benoît est né à Saint-Maurice près de Vincennes le 9 novembre 1857 ; son père Cléophas Lucien Benoît y était scieur à la mécanique et sa mère, Adelina Mélina Moussy, blanchisseuse de fin.
Devenu bijoutier à Paris, avec son frère Adrien, et demeurant au n°129 rue de Sèvres, il se marie le 17 octobre 1885 avec Victorine Gabrielle Fabre.
Peu avant le conflit 1914, Emile Benoît cède son hôtel restaurant et décède au n°83 rue Daguerre dans le 14e arrt., le 2 janvier 1916.
Un de ses successeurs sera un certain Huard, attesté en 1922, puis A. Serreau (vice-consul de l’Union Vélocipédique de France U.V.F.) de 1929 à 1939…
Cet hôtel est toujours existant aujourd’hui sous l’enseigne « La Maison des Amateurs » ; après d’importants travaux, il a ouvert ses 45 chambres rénovées le 3 juillet 2012 et a obtenu ses 4 étoiles en avril 2013 ; la Grande Rue ayant été renumérotée, il se trouve à présent au numéro 6.
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Concours du Bon Hôtelier
Ouvert aux hôtels dont le tarif moyen ne dépasse pas 10 francs par jour.
La Commission s'est réunie au Siège social le 29 octobre, sous la présidence de M. Henry Deustch (de la Meurthe), président.
Après avoir pris connaissance des rapports présentés par les membres de la Commission et des notes fournies par le « Service des hôtels » la Commission a attribué une cote à chacun des hôtels concurrents et procédé à un classement général.
Après nouvelle sélection elle a arrêté, comme suit, la liste des lauréats :
PRIX TITULAIRES : Grand prix. Mille francs, offerts par le Touring-Club de France à M. Benoît, Hôtel Central Benoît, à Saint-Malo.
(Revue mensuelle du Touring-Club de France 1er novembre 1908)
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Re: Saint-Malo - Hôtels
Saint-Malo - Hôtel Central Benoît - Salle à manger
Adry
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Re: Saint-Malo - Hôtels
Saint-Malo - Hôtel Central Benoît - Le Grand Salon
H. Le Maillot, éditeur, Saint-Malo
H. Le Maillot, éditeur, Saint-Malo
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Re: Saint-Malo - Hôtels
Saint-Malo - Hôtel Central Benoît - Le Hall
Adry
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