Saint-Servan - Châteaux

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JeanMarc
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Saint-Servan - Châteaux

Série de cartes postales anciennes des Châteaux de Saint-Servan (Ille-et-Vilaine, 35).


4802 - Saint-Servan - Le Château de la Briantais – G.F.
Collection Guérin, Saint-Malo

Situé sur la commune de Saint-Servan, le domaine de la Briantais domine la Rance, précisément en face du futur barrage de l’usine marémotrice de la Rance qui, en 1966, reliera la Pointe de la Brebis de la Richardais à la Pointe de la Briantais.

C’est le riche négociant
Michel Picot, seigneur de Premenil (1715-1788) qui en a fait l’acquisition vers 1750, alors qu’il ne comporte, à l’époque qu’une simple maison de villégiature estivale ; le domaine avait préalablement appartenu à Henri Poitevin, seigneur des Ormes (1668-1740), autre négociant malouin fortuné. Ayant cédé en 1747 sa « baronnie de Renac » qu’il avait achetée quinze ans auparavant pour 200.000 livres, c’est très certainement grâce à cette cession que Michel Picot décide d’édifier un premier château sur la Briantais (vingt mètres de long sur sept de profondeur, doté d’un étage), où il s’installe définitivement en 1760 avec Servanne Angélique Charlotte Locquet (1721-1797) qu’il avait épousée le 3 mars 1744 à Saint-Malo.

Lors de la révolution, le domaine de la Briantais est vendu comme bien national et racheté en 1803 par l’armateur
Jacques-Wulfren Ethéart (ou Jacques-Wulfreus ou Wulfram Ethéard), né le 12 mai 1743 à Gamaches dans la Somme, marié à Saint-Malo le 22 juin 1773 avec Marie Alexandrine Mallet (1750-1824).
Suite à de mauvaises affaires, Ethéart voit les scellés apposés, le 25 juin 1811, sur son Hôtel des Deux-Siciles situé au n°31 rue de Richelieu à Paris dans le 2e arrt. Il se voit contraint de céder la Briantais qui est rachetée, en 1811, par le négociant et armateur malouin
Francois-René-Hervé Fontan (1761-1826), époux, depuis 1790, de Françoise Jeanne Beauchef (1771-1830).
En 1818, le domaine passe aux mains de l’officier d’infanterie réunionnais (l’Ile Bourbon à cette date)
Charles-Joseph Périer d’Hauterive (1761-1829), marié en 1784 avec Euphrasie-Perrine Moy de Lacroix de Boisbrun (1762-1843).
Il faut attendre 1846 pour que la succession des Périer d’Hauterive soit réglée : la Briantais est alors achetée par le député de l’Ile Bourbon
Jacques Sully-Brunet (1794-1858), marié le 14 novembre 1821 avec Marie Françoise Félicité Boussu (1790-1877) ; celui-ci décide alors de laisser à l’abandon la première construction « briantaise » et de faire édifier un vaste Château sur la terrasse supérieure du jardin, lequel sera achevé au cours des années 1850.

Saint-Servan - Le Château de la Briantais 4802.jpg
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En 1865, son fils, Jacques-Eugène Sully-Brunet (1823-1885), marié avec Amélie Stéphanie Marie Larsonnier, revend le domaine de la Briantais et son nouveau Château, à son beau-père Jean Gustave Larsonnier (1812-1888) et à son épouse Félicité Sophie Beaucourt (1810-1887) ; Larsonnier tenait, depuis 1840, une usine pour la filature et le tissage de la laine au n°23 rue des Jeuneurs à Paris, et une seconde, installée à Guise dans l’Aisne.
Au décès de Larsonnier en 1888, la Briantais est achetée par
Charles-Émile La Chambre (1816-1907), armateur malouin et négociant-importateur du guano péruvien, devenu député en 1876. En 1855, La Chambre avait épousé en premières noces Clémence Marie Françoise Mouquet (1835-1864), avant de se remarier en 1873 avec la sœur de celle-ci, Adrienne Félicité Sophie Mouquet (1837-1907).
Le domaine de la Briantais revient ensuite au fils La Chambre, Charles-Auguste, également député, lequel fait exécuter de gros travaux d’agrandissement et d’aménagement au château qui prend la forme définitive qu’il a actuellement.
Charles-Auguste La Chambre (1861-1937) s’était marié en 1896 avec Adélaïde Charlotte Marguerite de Chabaud la Tour (1873-1931).
Leur fils
Guy Charles Clément François La Chambre (1898-1975), héritier du Domaine, sera maire de Saint-Servan de 1932 à 1940 puis de Saint-Malo de 1947 à 1965 et plusieurs fois ministre.
Le mariage de Guy La Chambre fera grand bruit à la une des journaux le 22 avril 1938 : il aura attendu le décès de ses parents pour épouser l’artiste lyrique connue sous le nom de
Cora Madou, alias Jeanne Baptistine Odaglia (1891-1971) ; celle-ci, venant de Marseille, avait commencé sa carrière en 1919 à Paris au Ba-Ta-Clan, dans une revue intitulée La Rouille, puis s’était produite en 1920 dans quelques cabarets, notamment à La Gaîté-Rochechouart et à la Pie-qui-chante, avant de se faire engager, dès 1921, par Alfred Nilson Fysher (1872-1931) dans son cabaret Chez Fysher du n°21 rue d’Antin (transféré rue Fontaine le 17 septembre 1930), où elle interprétera les nombreuses chansons du répertoire de Vincent Scotto dont elle était la compagne. Après le décès de Fysher, Cora Madou continuera sa carrière de chanteuse, réclamée par tous les cabarets et music-halls, poussant la chansonnette même au poste de la T.S.F…

Mariage de Guy la chambre avec Cora Madou - Portrait de Cora Madou
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En 1975 Guy La Chambre, décédé sans descendance, lègue le domaine de la Briantais au diocèse qui le cèdera à la ville de Saint-Malo en 1998.
Aujourd’hui le parc de la Briantais d’une superficie de 27 hectares est ouvert au public, tandis que le Château est visitable lors d’expositions et manifestations temporaires.
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Re: Saint-Servan

293 – Bords de la Rance - Le Château de la Briantais – ND Phot.

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publié par rigouard dim. 14 avr. 2019 14:56 ► ICI
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Re: Saint-Servan

97 - Saint-Servan - Le Château de la Briantais
Artaud et Nozais, Nantes

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Re: Saint-Servan

633 - Saint-Servan - Bords de la Rance - Château de la Briantais – ND Phot.

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Re: Saint-Servan

Saint-Servan - Château La Passagère - HLM
H. Le Maillot, éditeur à Saint-Malo

Le Château ou Villa « La Passagère » est situé au bord de la Rance, sur l’anse de l’Egorgerie, dans le village de Quelmer sur la commune de Saint-Servan. Il a été édifié pour Amélie Georgette Ehrler, épouse Soyer, qui y est attestée dès 1898.

Saint-Servan - Château La Passagère (H. Le Maillot, éditeur à Saint-Malo).jpg
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Amélie Georgette Ehrler, née à Paris le 23 novembre 1855, est la fille et petite-fille de célèbres fabricants de carrosses, berlines, coupés de ville, breaks, calèches à ressort, phaétons, etc… (1), notamment pour le compte de l’empereur Napoléon III. Demeurant chez ses père et mère au n°87 rue de Morny (future rue Pierre-Charron) dans le 8e arrt, elle se marie le 9 février 1874 avec Lucien Soyer (1847-1918), né à Paris, négociant, demeurant également chez ses parents au n°4 rue Mayran, dans le 9e arrt.
A la date de ce mariage, Lucien Soyer travaille en fait pour son père
Charles Soyer (1816-1876) qui est fabricant de cuirs corroyés et vernis pour sellerie, carrosserie et chaussures, tout d’abord installé au n°6 rue Lamartine à partir de 1855, puis au n°4 rue Mayran à compter de 1870.
Dans le mois suivant son mariage, le 4 mars 1874, Lucien Soyer s’associe avec son père, afin de conjointement tenir l’affaire dénommée à présent Maison Charles Soyer et fils. Après le décès de son père survenu le 5 juin 1876, Charles Soyer s’associe avec sa mère Elisabeth-Emilie Reboul (1829-1911) le 26 juillet 1876, afin de continuer l’affaire familiale, toujours située au n°4 rue Mayran.
Le couple Soyer-Ehrler donne naissance à Robert et Charlotte en 1874 et 1876. Dès que lesdits enfants ont été éduqués, Amélie Georgette Ehrler séjourne dorénavant dans sa
villa de La Passagère de Saint-Servan lors de la période estivale et réside le reste du temps à Paris au n°52 rue de Ponthieu où elle reçoit le « grand monde » tous les lundis. Lucien Soyer habite, de son côté au n°31 rue de Lisbonne. Tout comme sa propre mère l’avait fait (2), Amélie Ehrler se fait portraiturer par le peintre François Léopold Flameng (1856-1923) en 1909. Après la rue de Ponthieu, Amélie Ehrler reçoit ses invités au n°4 rue Saint-Philippe du Roule de 1900 à 1903, au n°26 avenue des Champs-Elysées en 1904 et 1905, puis au n°2 rue de Lisbonne de 1907 à 1913.

Le 9 décembre 1913, Amélie Ehrler divorce d’avec son mari Lucien Soyer, lequel continue à tenir son entreprise de cuirs vernis du 4 rue Mayran jusqu’à son décès survenu le 19 avril 1918.
La vie de château et les mondanités ne suffisant pas à Amélie Georgette Ehrler, roturière, elle décide d’acquérir le titre de « marquise » en se remariant le 19 juin 1918 avec le marquis Armand Maximilien de Béthune-Sully.
Veuf, depuis 1916, de Mélanie Marie Thérèse Allain-Cavan (celle-ci avait précédemment enterré ses deux premiers maris), Maximilien de Béthune-Sully est né le 23 septembre 1855 au Château de Chabris en Indre et possède le Château des Mesnuls en Seine-et-Oise.
Très rapidement, Amélie Georgette Ehrler apprend que le titre nobiliaire de son époux n’a aucune valeur, aussi tente-t-elle de faire annuler ce mariage devant la 1ère chambre civile du Tribunal de Paris qui, le 30 juin 1920, donne son verdict : la demande de dame Ehrler d’annulation de mariage est repoussée, le tribunal estimant qu’
une erreur portant seulement sur un élément de la personnalité du mari ne pouvant constituer un cas de nullité. (3)
Bon gré mal gré, Amélie Georgette Ehrler demeure l’épouse du faux marquis de Béthune-Sully, et décède au Château des Mesnuls le 28 janvier 1924.

A la suite de ce décès, le
Château La Passagère de Saint-Servan est acheté, en 1924, par le fameux explorateur et océanographe Jean-Baptiste Charcot (1867-1936) qui réside, à cette date dans son hôtel particulier de Neuilly, au n°29 rue Saint-James.
Marié le 18 novembre 1896 avec Jeanne Hugo (1869-1941), ex-épouse de Léon Daudet et petite fille de Victor Hugo, Charcot en a divorcé le 13 juillet 1905, avant de se remarier en secondes noces, le 3 janvier 1907, avec
Marguerite dite Meg Cléry (1874-1960), artiste peintre. Celle-ci dressera un portrait à l’huile de son époux, tableau conservé dans une collection privée.
Jean-Baptiste Charcot est décédé le 16 septembre 1936, à bord du navire le « Pourquoi pas ? », perdu corps et biens, près des récifs d’Alftanès au large de Reykjavik ; seul Eugène Gonidec est rescapé sur les 41 personnes de l’expédition.
Meg Cléry-Charcot est décédée à Saint-Servan le 6 août 1960, vraisemblablement dans sa villa La Passagère.

Portrait d’Amélie Ehrler, épouse Soyer par François Léopold Flameng (Huile sur toile 1909, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la ville de Paris) — Portrait de Jean-Baptiste Charcot par son épouse Meg Cléry (Huile sur toile, collection privée)
Image

(1) Georges Ehrler (1832-1885) et Joachim Ehrler (1804-1861)

(2) En 1880, Pauline Joséphine Desouches, épouse de Georges Ehrler, mère Amélie Ehrler, s’était fait tirer le portrait par Léon Bonnat.

(3) CHRONIQUE DES TRIBUNAUX
POUR LE TITRE !
Ce mari septuagénaire n'a aucune illusion à se taire, car sa femme le lui dit crûment : c’est pour son titre nobiliaire qu’elle l’a épousé. On ne saurait rêver révélation plus délicate. Si malgré ses soixante et cinq ans bien sonnés, M. Armand-Maximilien de Béthune nourrissait encore quelque secret espoir sur le penchant que Mme Ehrler, il y a deux printemps seulement, manifestait pour lui, il est aujourd'hui renseigné sur l’état d'âme de son épouse.
Qui avait poussé cette dame roturière à goûter une seconde fois aux joies du matrimonion ? L'idée d'être marquise. Marquise de Béthune-Sully, voilà qui sonnait diablement bien. Mme Ehrler épousa donc le marquis.
Une surprise effroyable vint bouleverser son bonheur. M. de Béthune appartenait bien à la famille des Béthune-Sully, mais par la main gauche seulement. De sorte que tout Béthune qu'il fût, il ne se pouvait valablement dire marquis.
Mme la marquise en conçut un dépit violent. « Eh quoi ! s'écria-t-elle, abuse-t-on ainsi de la crédulité s’une honnête femme ? Mariée je ne suis point, puisque j'entendais épouser un marquis, alors que je n’ai donné ma main qu'à M. de Béthune ». Et, courant au prétoire, assistée de Maître Ed. Clunet, elle demandait aux juges de la 1ère Chambre de dénouer ses liens conjugaux, son mariage étant vicié, prétendait-elle par une erreur sur la personne. « C'est un marquis qu'on m'a promis. Je n'ai pas de marquis. Il y et maldonne ». Et, pour en convaincre le tribunal, elle l'assurait « que la filiation et la possession de noms et de titres de M. de Béthune avaient été la seule cause du mariage ». Ah ! douceur des aveux...
La 1ère Chambre du Tribunal, présidée par M. Servin, a répondu assez durement à l’étrange demande de la marquise désappointée. Elle lui a enseigné que l' « erreur sur la personne » prévue par le Code s'applique à la personne physique et non aux titre, dont elle se pare, et que, marquis ou non, M de Béthune n'en restait pas moins le mari auquel, le plus librement du monde, elle avait donné, sinon son cœur, du moins sa main de bourgeoise ambitieuse. Pierre Loewel.

(L’Eclair, 1er juillet 1920)
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Re: Saint-Servan

623 - Saint-Servan - Le Château du Bosc - HLM

Le Château du Bos (ou Bosc ou encore Boscq) est situé au n°1 rue de la Passagère, dans le village de Quelmer, sur la commune de Saint-Servan.
Négociant et armateur malouin,
Pierre Le Fer, seigneur de La Saudre (1673-1745), devient, en avril 1712, un des 19 actionnaires de la Compagnie des Indes Orientales de Saint-Malo ; à ce titre, il détient, au 1er mars 1717, 12 actions, pour une valeur de 312.000 livres, sur les 264 actions que compte la Compagnie.
Pierre Le Fer se marie le 14 décembre 1700, à Saint-Malo, avec
Marie Françoise Gilbert, dame du Bosq (1674-1762), laquelle avait épousé en premières noces, le 13 juin 1693, Nicolas Pierre Magon, sieur de la Chipaudière (1670-1698).
En 1715, Nicolas de Fer, son épouse et les trois enfants issus du premier mariage de celle-ci (1), s’associent pour édifier une malouinière à Quelmer : Nicolas de Fer apporte 25.000 livres, tandis que son épouse et ses trois beaux-fils fournissent, de leur côté, 15.000 livres. La construction du Château du Bosc est achevée en 1717.
Après le décès, en 1762, de Marie Françoise Gilbert du Bosq, la malouinière revient à son petit- fils,
Aaron Magon du Bosc (1732-1777), le fils de Nicolas Magon. Aaron Magon du Bosc, marié depuis 1759 avec Anne-Perrine-Marie Magon du Clos-Doré (1741-1807), est, en 1762, en passe d’achever la construction d’un autre Château sur la rive opposée de la Rance, le Château du Montmartin en Pleurtuit, sur lequel nous donnerons prochainement quelques renseignements…

Saint-Servan - Le Château du Bosc 623.jpg
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En 2006, le Château du Bosc a été racheté par Catherine et Henry Robert qui l’ont restauré, à l’aide des subventions de la Drac, du Conseil Général et du Conseil Régional.

(1) Les trois enfants de Marie Françoise Gilbert du Bosq ayant participé au financement de la malouinière du Bosc sont :
Jean-Baptiste Magon de la Chipaudière (1694 - après 1750)
Nicolas Magon, seigneur du Bosq (1695 - 1736)
Thomas Magon, sieur de la Chipaudière (avant 1700 - 1756)
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Re: Saint-Servan

612 - Saint-Servan - Le Château du Bosc - HLM

voir ICI ► quelques renseignements sur le Château du Bosc
Saint-Servan - Le Château du Bosc.jpg
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Re: Saint-Servan - Châteaux

1729 - Saint-Servan – Vue prise au Château de la Brientais (sic pour Briantais) – G.F.
Collection Germain fils aîné, Saint-Malo – Cliché Grégoire

Saint-Servan – Vue prise au Château de la Brientais (sic pour Briantais) (1729 GF).jpg
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