D’Auxerre un Bon souvenir et ces Fleurs
Marque Étoile, émaillographie - Stebbing phot.

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Né à Bury St Edmunds dans le comté de Suffolk en Angleterre le 8 décembre 1836,
Edward Thomas August Stebbing réside en France au n°33 rue des Martyrs dès avant 1865 où il est professeur d’anglais à l’École philotechnique de Paris, 18 rue des Fossés Saint-Jacques. Il se marie dans le 10e arrt., le 10 mai 1865, avec
Marie-Pauline Auguste dit Renaud, née à Saintes le 25 février 1844, professeur de piano, demeurant chez ses parents au n°21 rue du Faubourg Saint-Denis.
Demeurant au n°41 rue de la Rochefoucault en 1872, il fait paraître des annonces dans le journal « Le Moniteur de la Photographie » proposant du Collodio-bromure de sa fabrication pour les plaques sèches, « très rapide pouvant se conserver indéfiniment et offrant de grands avantages pour la reproduction de tableaux ».
En 1876, il demeure 3 place Bréda, participant toujours très régulièrement au moniteur de la photographie par des communications et articles, et continuant ses recherches sur les procédés photographiques. L’année suivante il s’installe avec son épouse au
n°25 rue des Appenins dans le 17e arrt., où il ouvre son
atelier de photographie.
Le 20 avril 1879 Stebbing crée la société en commandite «
Stebbing et Cie » associé à deux commanditaires (Pauline Wittmann veuve d’Étienne Poulenc, négociante en produits chimiques et Léon Wittmann), société ayant pour objet l’exploitation de procédés perfectionnés pour l’obtention des épreuves photographiques du brevet apporté à la Société par lesdits commanditaires. Stebbing est seul gérant de cette société au capital de 50.000 francs. La société sera dissoute le 30 décembre 1882.
Le 24 janvier 1887, un incendie éclate dans l’atelier de Stebbing de la rue des Appenins, sa maison est entièrement détruite.
En 1890 les époux Stebbing s’installe au n°196 rue Legendre puis, à partir de 1891, au
n°30 rue de Grammont (boulevard des Italiens) où il accueille sa clientèle pour des séances de pose, emplacement qu’il ne quittera plus jusqu’en 1914. En 1915, il demeure au n°14 boulevard Poissonnière et décède le 8 mars 1915 au n°66 rue des Plantes. Son épouse l’avait précédée le 19 mars 1912, au n°130 boulevard Exelmans.

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