500 - Saint-Servan - Le Marché aux fleurs - ELD
Marché de la Place Bouvet. Au fond, ce n’est pas l’ancienne Mairie de Saint-Servan mais tout simplement une demeure bourgeoise située au n°5 rue Amiral Magon. A droite, les anciennes Halles de Saint-Servan ont été entièrement rasées. On y a construit, en 1957, un bâtiment impersonnel abritant de nouvelles halles surmontées du Théâtre de l’Hermine.
Saint-Servan
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Re: Saint-Servan
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Re: Saint-Servan
168 - Saint-Servan - Vue générale de la Cité - G.F.
Edition Guérin, Saint-Malo
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- Classement : 15.79%
Re: Saint-Servan
664 - Saint-Servan - Piscine et Plage des Bas-Sablons
La Cigogne
15 août 1937 - Saint-Servan-sur-Mer. Ouverture de la piscine de la Plage des Sablons
— Il y a quelques jours, nous avons eu l'occasion de rencontrer le directeur des travaux du Routhouan et celui-ci nous avait affirmé que nous aurions la Piscine pour le 15 août. C'est aujourd'hui chose faite. La retenue d'eau s'effectue normalement et il reste seulement à exécuter, bien entendu, quelques travaux de « fignolage ».
Un escalier provisoire a été posé au bas de la « percée » des Bas-Sablons et nous croyons que nos visiteurs, ainsi que nos concitoyens, viendront nombreux dès aujourd'hui se livrer à leur sport favori et voudront ainsi témoigner leurs remerciements aux différents organismes qui se sont dépensés depuis quelques jours pour achever ces travaux, qui donneront un attrait nouveau à la plage des Bas-Sablons.
Il est dommage que le Comité des Fêtes n'ait pas prévu, pour l'inauguration de la Piscine, une fête nautique. Mais il n'est « jamais trop tard pour bien faire ».
(Ouest-Eclair 15 août 1937)
11 septembre 1938 - Saint-Servan-sur-Mer. L’inauguration de la Piscine
— C'est le dimanche 11 septembre qui a été retenu pour l'inauguration officielle de la piscine des Bas-Sablons par M. Guy La Chambre, ministre de l'Air, député-maire de Saint-Servan.
Après un grand banquet qui aura lieu sous les halles, les nombreuses personnalités se rendront à la plage des
Bas-Sablons où elles présideront une magnifique fête nautique, organisée dans la piscine par le Comité des fêtes, avec le concours des Sociétés locales : le Cercle Nautique Servannais et l'Aviron Servannais, du Service départemental d'Education physique, du Cercle Paul Bert de Rennes, du Canoë-Club Rennais, des Canoës de la Côte d'Emeraude et avec la précieuse collaboration de M. Dutartre, professeur d'éducation physique.
Cette énumération est suffisamment éloquente pour prouver que le succès de la dernière fête nautique sera encore dépassé, et c'est une foule immense qui, le 11 septembre prochain, viendra voir évoluer en nombre impressionnant nageurs et embarcations de toutes sortes dans la piscine des Sablons.
Nous profitons de l'occasion qui nous est offerte de rappeler que la piscine de Saint-Servan-sur-Mer est, avec ses
50.000 m² et 100.000 m3 d’eau, la plus grande du monde, et que le journal L'Auto lui a dernièrement consacré un très long article. Avec ses deux plongeoirs et son toboggan, avec son bassin homologué par la Fédération française de Natation, notre piscine est certainement une des plus belles de France.
Ce que sera le programme de la journée ? Avant tout il sera sportif et récréatif.
Du côté « sport », nous aurons des brevets civils et militaires, des courses de vitesse et de fond, etc. Du côté récréatif, des courses de doris, périssoires, de nouveaux jeux nautiques à sensations, une démonstration inédite du Canoë-Club de Rennes, etc.
(Ouest-Eclair 4 septembre 1938)
La Cigogne
15 août 1937 - Saint-Servan-sur-Mer. Ouverture de la piscine de la Plage des Sablons
— Il y a quelques jours, nous avons eu l'occasion de rencontrer le directeur des travaux du Routhouan et celui-ci nous avait affirmé que nous aurions la Piscine pour le 15 août. C'est aujourd'hui chose faite. La retenue d'eau s'effectue normalement et il reste seulement à exécuter, bien entendu, quelques travaux de « fignolage ».
Un escalier provisoire a été posé au bas de la « percée » des Bas-Sablons et nous croyons que nos visiteurs, ainsi que nos concitoyens, viendront nombreux dès aujourd'hui se livrer à leur sport favori et voudront ainsi témoigner leurs remerciements aux différents organismes qui se sont dépensés depuis quelques jours pour achever ces travaux, qui donneront un attrait nouveau à la plage des Bas-Sablons.
Il est dommage que le Comité des Fêtes n'ait pas prévu, pour l'inauguration de la Piscine, une fête nautique. Mais il n'est « jamais trop tard pour bien faire ».
(Ouest-Eclair 15 août 1937)
11 septembre 1938 - Saint-Servan-sur-Mer. L’inauguration de la Piscine
— C'est le dimanche 11 septembre qui a été retenu pour l'inauguration officielle de la piscine des Bas-Sablons par M. Guy La Chambre, ministre de l'Air, député-maire de Saint-Servan.
Après un grand banquet qui aura lieu sous les halles, les nombreuses personnalités se rendront à la plage des
Bas-Sablons où elles présideront une magnifique fête nautique, organisée dans la piscine par le Comité des fêtes, avec le concours des Sociétés locales : le Cercle Nautique Servannais et l'Aviron Servannais, du Service départemental d'Education physique, du Cercle Paul Bert de Rennes, du Canoë-Club Rennais, des Canoës de la Côte d'Emeraude et avec la précieuse collaboration de M. Dutartre, professeur d'éducation physique.
Cette énumération est suffisamment éloquente pour prouver que le succès de la dernière fête nautique sera encore dépassé, et c'est une foule immense qui, le 11 septembre prochain, viendra voir évoluer en nombre impressionnant nageurs et embarcations de toutes sortes dans la piscine des Sablons.
Nous profitons de l'occasion qui nous est offerte de rappeler que la piscine de Saint-Servan-sur-Mer est, avec ses
50.000 m² et 100.000 m3 d’eau, la plus grande du monde, et que le journal L'Auto lui a dernièrement consacré un très long article. Avec ses deux plongeoirs et son toboggan, avec son bassin homologué par la Fédération française de Natation, notre piscine est certainement une des plus belles de France.
Ce que sera le programme de la journée ? Avant tout il sera sportif et récréatif.
Du côté « sport », nous aurons des brevets civils et militaires, des courses de vitesse et de fond, etc. Du côté récréatif, des courses de doris, périssoires, de nouveaux jeux nautiques à sensations, une démonstration inédite du Canoë-Club de Rennes, etc.
(Ouest-Eclair 4 septembre 1938)
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Re: Saint-Servan
107 - Saint-Servan-sur-Mer - La Plage du Rosaire (sic pour plage du Rosais)
A. Lamiré éditeur Rennes
A. Lamiré éditeur Rennes
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Re: Saint-Servan
20 - Saint-Servan - La Tour Solidor et la Cale
Collection Plateau
Collection Plateau
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Re: Saint-Servan
4799 - Saint-Servan - Le Bois du Rosais - Au loin La Roche-aux-Mouettes – GF.
Collection Germain fils aîné, Saint-Malo
voir ici ► quelques renseignements sur le Manoir de la Roche-aux-Mouettes
Collection Germain fils aîné, Saint-Malo
voir ici ► quelques renseignements sur le Manoir de la Roche-aux-Mouettes
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Re: Saint-Servan
4802 - Saint-Servan - Le Château de la Briantais – G.F.
Collection Guérin, Saint-Malo
Situé sur la commune de Saint-Servan, le domaine de la Briantais domine la Rance, précisément en face du futur barrage de l’usine marémotrice de la Rance qui, en 1966, reliera la Pointe de la Brebis de la Richardais à la Pointe de la Briantais.
C’est le riche négociant Michel Picot, seigneur de Premenil (1715-1788) qui en a fait l’acquisition vers 1750, alors qu’il ne comporte, à l’époque qu’une simple maison de villégiature estivale ; le domaine avait préalablement appartenu à Henri Poitevin, seigneur des Ormes (1668-1740), autre négociant malouin fortuné. Ayant cédé en 1747 sa « baronnie de Renac » qu’il avait achetée quinze ans auparavant pour 200.000 livres, c’est très certainement grâce à cette cession que Michel Picot décide d’édifier un premier château sur la Briantais (vingt mètres de long sur sept de profondeur, doté d’un étage), où il s’installe définitivement en 1760 avec Servanne Angélique Charlotte Locquet (1721-1797) qu’il avait épousée le 3 mars 1744 à Saint-Malo.
Lors de la révolution, le domaine de la Briantais est vendu comme bien national et racheté en 1803 par l’armateur Jacques-Wulfren Ethéart (ou Jacques-Wulfreus ou Wulfram Ethéard), né le 12 mai 1743 à Gamaches dans la Somme, marié à Saint-Malo le 22 juin 1773 avec Marie Alexandrine Mallet (1750-1824).
Suite à de mauvaises affaires, Ethéart voit les scellés apposés, le 25 juin 1811, sur son Hôtel des Deux-Siciles situé au n°31 rue de Richelieu à Paris dans le 2e arrt. Il se voit contraint de céder la Briantais qui est rachetée, en 1811, par le négociant et armateur malouin Francois-René-Hervé Fontan (1761-1826), époux, depuis 1790, de Françoise Jeanne Beauchef (1771-1830).
En 1818, le domaine passe aux mains de l’officier d’infanterie réunionnais (l’Ile Bourbon à cette date) Charles-Joseph Périer d’Hauterive (1761-1829), marié en 1784 avec Euphrasie-Perrine Moy de Lacroix de Boisbrun (1762-1843).
Il faut attendre 1846 pour que la succession des Périer d’Hauterive soit réglée : la Briantais est alors achetée par le député de l’Ile Bourbon Jacques Sully-Brunet (1794-1858), marié le 14 novembre 1821 avec Marie Françoise Félicité Boussu (1790-1877) ; celui-ci décide alors de laisser à l’abandon la première construction « briantaise » et de faire édifier un vaste Château sur la terrasse supérieure du jardin, lequel sera achevé au cours des années 1850.
En 1865, son fils, Jacques-Eugène Sully-Brunet (1823-1885), marié avec Amélie Stéphanie Marie Larsonnier, revend le domaine de la Briantais et son nouveau Château, à son beau-père Jean Gustave Larsonnier (1812-1888) et à son épouse Félicité Sophie Beaucourt (1810-1887) ; Larsonnier tenait, depuis 1840, une usine pour la filature et le tissage de la laine au n°23 rue des Jeuneurs à Paris, et une seconde, installée à Guise dans l’Aisne.
Au décès de Larsonnier en 1888, la Briantais est achetée par Charles-Émile La Chambre (1816-1907), armateur malouin et négociant-importateur du guano péruvien, devenu député en 1876. En 1855, La Chambre avait épousé en premières noces Clémence Marie Françoise Mouquet (1835-1864), avant de se remarier en 1873 avec la sœur de celle-ci, Adrienne Félicité Sophie Mouquet (1837-1907).
Le domaine de la Briantais revient ensuite au fils La Chambre, Charles-Auguste, également député, lequel fait exécuter de gros travaux d’agrandissement et d’aménagement au château qui prend la forme définitive qu’il a actuellement. Charles-Auguste La Chambre (1861-1937) s’était marié en 1896 avec Adélaïde Charlotte Marguerite de Chabaud la Tour (1873-1931).
Leur fils Guy Charles Clément François La Chambre (1898-1975), héritier du Domaine, sera maire de Saint-Servan de 1932 à 1940 puis de Saint-Malo de 1947 à 1965 et plusieurs fois ministre.
Le mariage de Guy La Chambre fera grand bruit à la une des journaux le 22 avril 1938 : il aura attendu le décès de ses parents pour épouser l’artiste lyrique connue sous le nom de Cora Madou, alias Jeanne Baptistine Odaglia (1891-1971) ; celle-ci, venant de Marseille, avait commencé sa carrière en 1919 à Paris au Ba-Ta-Clan, dans une revue intitulée La Rouille, puis s’était produite en 1920 dans quelques cabarets, notamment à La Gaîté-Rochechouart et à la Pie-qui-chante, avant de se faire engager, dès 1921, par Alfred Nilson Fysher (1872-1931) dans son cabaret Chez Fysher du n°21 rue d’Antin (transféré rue Fontaine le 17 septembre 1930), où elle interprétera les nombreuses chansons du répertoire de Vincent Scotto dont elle était la compagne. Après le décès de Fysher, Cora Madou continuera sa carrière de chanteuse, réclamée par tous les cabarets et music-halls, poussant la chansonnette même au poste de la T.S.F…
Mariage de Guy la chambre avec Cora Madou - Portrait de Cora Madou
En 1975 Guy La Chambre, décédé sans descendance, lègue le domaine de la Briantais au diocèse qui le cèdera à la ville de Saint-Malo en 1998.
Aujourd’hui le parc de la Briantais d’une superficie de 27 hectares est ouvert au public, tandis que le Château est visitable lors d’expositions et manifestations temporaires.
Collection Guérin, Saint-Malo
Situé sur la commune de Saint-Servan, le domaine de la Briantais domine la Rance, précisément en face du futur barrage de l’usine marémotrice de la Rance qui, en 1966, reliera la Pointe de la Brebis de la Richardais à la Pointe de la Briantais.
C’est le riche négociant Michel Picot, seigneur de Premenil (1715-1788) qui en a fait l’acquisition vers 1750, alors qu’il ne comporte, à l’époque qu’une simple maison de villégiature estivale ; le domaine avait préalablement appartenu à Henri Poitevin, seigneur des Ormes (1668-1740), autre négociant malouin fortuné. Ayant cédé en 1747 sa « baronnie de Renac » qu’il avait achetée quinze ans auparavant pour 200.000 livres, c’est très certainement grâce à cette cession que Michel Picot décide d’édifier un premier château sur la Briantais (vingt mètres de long sur sept de profondeur, doté d’un étage), où il s’installe définitivement en 1760 avec Servanne Angélique Charlotte Locquet (1721-1797) qu’il avait épousée le 3 mars 1744 à Saint-Malo.
Lors de la révolution, le domaine de la Briantais est vendu comme bien national et racheté en 1803 par l’armateur Jacques-Wulfren Ethéart (ou Jacques-Wulfreus ou Wulfram Ethéard), né le 12 mai 1743 à Gamaches dans la Somme, marié à Saint-Malo le 22 juin 1773 avec Marie Alexandrine Mallet (1750-1824).
Suite à de mauvaises affaires, Ethéart voit les scellés apposés, le 25 juin 1811, sur son Hôtel des Deux-Siciles situé au n°31 rue de Richelieu à Paris dans le 2e arrt. Il se voit contraint de céder la Briantais qui est rachetée, en 1811, par le négociant et armateur malouin Francois-René-Hervé Fontan (1761-1826), époux, depuis 1790, de Françoise Jeanne Beauchef (1771-1830).
En 1818, le domaine passe aux mains de l’officier d’infanterie réunionnais (l’Ile Bourbon à cette date) Charles-Joseph Périer d’Hauterive (1761-1829), marié en 1784 avec Euphrasie-Perrine Moy de Lacroix de Boisbrun (1762-1843).
Il faut attendre 1846 pour que la succession des Périer d’Hauterive soit réglée : la Briantais est alors achetée par le député de l’Ile Bourbon Jacques Sully-Brunet (1794-1858), marié le 14 novembre 1821 avec Marie Françoise Félicité Boussu (1790-1877) ; celui-ci décide alors de laisser à l’abandon la première construction « briantaise » et de faire édifier un vaste Château sur la terrasse supérieure du jardin, lequel sera achevé au cours des années 1850.
En 1865, son fils, Jacques-Eugène Sully-Brunet (1823-1885), marié avec Amélie Stéphanie Marie Larsonnier, revend le domaine de la Briantais et son nouveau Château, à son beau-père Jean Gustave Larsonnier (1812-1888) et à son épouse Félicité Sophie Beaucourt (1810-1887) ; Larsonnier tenait, depuis 1840, une usine pour la filature et le tissage de la laine au n°23 rue des Jeuneurs à Paris, et une seconde, installée à Guise dans l’Aisne.
Au décès de Larsonnier en 1888, la Briantais est achetée par Charles-Émile La Chambre (1816-1907), armateur malouin et négociant-importateur du guano péruvien, devenu député en 1876. En 1855, La Chambre avait épousé en premières noces Clémence Marie Françoise Mouquet (1835-1864), avant de se remarier en 1873 avec la sœur de celle-ci, Adrienne Félicité Sophie Mouquet (1837-1907).
Le domaine de la Briantais revient ensuite au fils La Chambre, Charles-Auguste, également député, lequel fait exécuter de gros travaux d’agrandissement et d’aménagement au château qui prend la forme définitive qu’il a actuellement. Charles-Auguste La Chambre (1861-1937) s’était marié en 1896 avec Adélaïde Charlotte Marguerite de Chabaud la Tour (1873-1931).
Leur fils Guy Charles Clément François La Chambre (1898-1975), héritier du Domaine, sera maire de Saint-Servan de 1932 à 1940 puis de Saint-Malo de 1947 à 1965 et plusieurs fois ministre.
Le mariage de Guy La Chambre fera grand bruit à la une des journaux le 22 avril 1938 : il aura attendu le décès de ses parents pour épouser l’artiste lyrique connue sous le nom de Cora Madou, alias Jeanne Baptistine Odaglia (1891-1971) ; celle-ci, venant de Marseille, avait commencé sa carrière en 1919 à Paris au Ba-Ta-Clan, dans une revue intitulée La Rouille, puis s’était produite en 1920 dans quelques cabarets, notamment à La Gaîté-Rochechouart et à la Pie-qui-chante, avant de se faire engager, dès 1921, par Alfred Nilson Fysher (1872-1931) dans son cabaret Chez Fysher du n°21 rue d’Antin (transféré rue Fontaine le 17 septembre 1930), où elle interprétera les nombreuses chansons du répertoire de Vincent Scotto dont elle était la compagne. Après le décès de Fysher, Cora Madou continuera sa carrière de chanteuse, réclamée par tous les cabarets et music-halls, poussant la chansonnette même au poste de la T.S.F…
Mariage de Guy la chambre avec Cora Madou - Portrait de Cora Madou
En 1975 Guy La Chambre, décédé sans descendance, lègue le domaine de la Briantais au diocèse qui le cèdera à la ville de Saint-Malo en 1998.
Aujourd’hui le parc de la Briantais d’une superficie de 27 hectares est ouvert au public, tandis que le Château est visitable lors d’expositions et manifestations temporaires.
- Classement : 15.79%
Re: Saint-Servan
293 – Bords de la Rance - Le Château de la Briantais – ND Phot.
publié par rigouard dim. 14 avr. 2019 14:56 ► ICI
publié par rigouard dim. 14 avr. 2019 14:56 ► ICI
- Classement : 5.26%
Re: Saint-Servan
97 - Saint-Servan - Le Château de la Briantais
Artaud et Nozais, Nantes
Artaud et Nozais, Nantes
- Classement : 15.79%
Re: Saint-Servan
69 - Saint-Servan - Vue prise du Château de la Briantais – ND Phot
- Classement : 15.79%
Re: Saint-Servan
65 – Dinard - La Vicomté - Vue prise du Rond-point des Buttes, la Rance, le Rocher de Bizeux et Saint-Servan – LL.
En fait, cette Cpa ne représente que Saint-Servan ; seuls les arbres de premier plan sont situés sur la Vicomté-en-Dinard
En fait, cette Cpa ne représente que Saint-Servan ; seuls les arbres de premier plan sont situés sur la Vicomté-en-Dinard
- Classement : 10.53%
Re: Saint-Servan
4882 - Saint-Servan-sur-Mer - La Corniche d'Aleth - Vue générale de Saint-Malo – G.F.
Edition Guérin, Saint-Malo
Edition Guérin, Saint-Malo
- Classement : 15.79%
Re: Saint-Servan
633 - Saint-Servan - Bords de la Rance - Château de la Briantais – ND Phot.
- Classement : 10.53%