Paris - Ses Squares et ses Jardins

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Paris. - Ses Squares et ses Jardins
27. Le Jardin du Louvre.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris
Cette carte surchargée en écriture par un père bavard et verbeux qui enjoint son enfant à ne pas se satisfaire de sa place de second.. aura tout de même le mérite de porter le N° 27 et nous permettre ainsi de progresser dans cette collection.
Notons au passage que cette carte n'est pas aussi ''courante" que les 119 autres et si l'un d'entre vous possède un exemplaire en meilleur état, je la remplacerai illico.

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Paris. - Ses Squares et ses Jardins
28. Le Jardin du Luxembourg. - Monument de Chopin.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris
Jardin du Luxembourg : Fryderyk Franciszek Chopin (Statue de Georges DUBOIS)
Le modèle en plâtre du buste de Chopin fut présenté au Salon de 1899 (n° 3418). Ce monument a été inauguré
le 17 octobre 1900, date anniversaire de la mort du compositeur.
Le buste de Chopin qui surmontait la stèle a disparu. Il a été retiré du jardin le 20 mars 1942 en vue de sa fonte
par la Commission départementale de la Seine (selon la loi du 11 octobre 1941 et du décret du 16 octobre 1941).
Pour le remplacer, le gouvernement polonais a fait don au Sénat d'une réplique en bronze d'un buste représentant
Chopin réalisé en 1872 par le sculpteur Boleslaw Syrewicz (1835-1899).
L'original, en marbre, est conservé depuis 1929 dans les collections du Musée National de Varsovie. La réplique a
été exécutée en Pologne en décembre 1998. Le buste a été inauguré dans le Jardin du Luxembourg le 22 février
1999, à l'occasion du 150ème anniversaire de la mort de Frédéric Chopin.
Frédéric François Chopin (en polonais : Fryderyk Franciszek Chopin ou Szopen en version phonétique) est un
compositeur et pianiste virtuose, né le 1er mars 1810 à Zelazowa Wola (Pologne), et mort à Paris le 17 octobre 1849. .
Source : Jardin du Luxembourg : Fryderyk Franciszek Chopin (Statue de Georges DUBOIS)

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29. Square Vintimille. - Statue de Berlioz.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris
Aujourd'hui Square Berlioz, doit son nom de Vintimille à la Comtesse de Ségur, née Vintimille du Luc, veuve en premières noces du Comte Greffulhe, propriétaire de la Folie La Bouxière.
Les statues du jardin ont eu une vie mouvementée :
- 1850, une statue représentant Napoléon en Prométhée, due au sculpteur Roland Mathieu-Meunier, est installée, ombragée par un saule rapporté de St-Hélène. La statue était en marbre, majestueuse (2,20 m de hauteur) et présentait l'Empereur entièrement nu. Cette nudité héroïque choqua des habitants du quartier, qui badigeonnèrent un uniforme sur le corps de la statue. Ainsi vandalisée, la statue fur brisée par l'artiste.
- 1886, cinq ans après qu'une souscription fut ouverte, on plaça une statue en bronze d’Hector Berlioz due à Alfred Lenoir, petit-fils d'Alexandre Lenoir, grand défenseur du patrimoine dont le nom doit être salué avec respect.
- 1941, la statue d'Alfred Lenoir dédiée à Hector Berlioz est détruite par l'occupant (toujours la loi vichyste de 1941... un désastre !)
- 1948, une statue en pierre réalisée par Georges Saupiquet est installée..

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30. Square des Batignolles.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris
[...] La région comprise entre le chemin de fer de Saint-Germain et la lisière orientale de l'arrondissement est traversée par le second tronçon de l'avenue de Clichy, planté de platanes. Devant l'église Sainte-Marie, se développe le square établi en 1862 sur l'ancienne place de la commune des Batignolles. Cette place n'était à vrai dire qu'un immense terrain en forme de parallélogramme, une surface aride qui avait longtemps servi de lieu de déjection au quartier environnant.[...] On y remarque aujourd'hui (1911) trois statues en bronze : Circé, par Michel, un Belluaire, par Ferrary, et une Nymphe sur un dauphin, par Larroux
Source : Les Jardins et Squares, Robert Hénard, H.LAURENS·PARIS, 1911
De nos jours, [...]La pièce d'eau comporte une sculpture en pierre noire de Volvic : Les Vautours, de Louis de Monard (1930).
Monument à Léon Dierx par Léopold de Bony de Lavergne.
Le jardin comporte un buste du poète parnassien, sacré « prince des Poètes », Léon Dierx par Bony de Lavergne en 1898, inaugurée seulement en 1930. On y voit aussi des socles vides, seuls vestiges de statues qui furent fondues pendant l'Occupation, comme bien d’autres ailleurs dans Paris.[...]
Source : Wikipedia

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31. Bois de Boulogne. - Villa de Longchamps.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris
[...] A l’époque, le Domaine est situé sur un vaste massif marécageux, couvert de forêt, la forêt de Rouvray, plus connue sous le nom de bois de Boulogne.Cette partie du bois, proche du village des Menus, était connue comme un « coupe-gorge » en raison des crimes perpétués par les gens de mauvaises vie.
En 1255, Isabelle de France, fille de Louis VIII (dit coeur de Lyon) et soeur de Saint-Louis (Louis IX) fonde sur le terrain l’abbaye royale de Longchamp – du latin « longus campus » longue plaine, aussi appelée couvent de l’Humilité Notre-Dame. S’y installé l’ordre des Clarisses venu de Reims. Neuf ans plus tard, celle qui marqua à tout jamais cette terre, Isabelle de France expie. Durant plusieurs années, la nouvelle s’ébruite que des miracles arrivent sur sa tombe. Très respectée, les soeurs commandent en son honneur, sous le règne de Louis XIV, une toile au peintre Philippe de Champaigne, la représentant en sœur, à genoux, couverte du manteau royal, soumettant le plan de l’Abbaye à la Sainte Vierge. Le tableau aurait mystérieusement disparu depuis 1791 [...]
Source : http://euchronie.org

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32. Bois de Boulogne. - Château de Bagatelle.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris
[...] Sous le Directoire, les fêtes de Bagatelle ramenèrent l'animation dans le Bois déserté. Le 27 mai 1797, le gouvernement, réduit aux abois, céda << à un sieur Ètienne Benoît, demeurant à Paris, rue de Lille, 646, le domaine de Bagatelle, provenant de Charles-Philippe Capet, émigré. >>. Benoît s'associa le restaurateur Lhéritier et le glacier Garchi et réussit à attirer la foule par une série de distractions, telles que bals, concerts, montagnes russes, lancement de montgolfières, feux d'artifices. [...] << Depuis que Bagatelle est le guide des Parisiens, dit le journal Le Thé, l'amour ne cesse d'y faire des pèlerinages >> ; et la chanson ajoute :
.......................................................................................Chacun avec la même ardeur
.......................................................................................Veut se rendre où l'amour l'appelle
.......................................................................................C'est au séjour du vrai bonheur
.......................................................................................Et ce séjour est Bagatelle
Source : Les Jardins et les Squares, Robert Hénard, H.LAURENS·PARIS, 1911

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33. Bois de Boulogne. - Chalet du Touring-Club.....

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34. Bois de Boulogne. - La Cascade.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris

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35. Bois de Boulogne. - Le Cours d'Eau.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris

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36. Parc Monceaux. - Le Portique romain.....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris

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37. Parc Monceaux. - Monument de Gounod.....

Le monument dédié à Charles Gounod fut élevé en 1902 grâce à un comité de souscription dont le président
était le compositeur Ambroise Thomas, qui bénéficie lui aussi d'un monument dans le parc.Le choix du parc
Monceau s'explique par la proximité du domicile de Gounod au 20 place du général Catroux (ancienne place
Malesherbes). La réalisation du monument fut confiée à Antonin Mercié. Le buste du compositeur est entouré
de trois figures féminines placées sur une nuée. Elles évoquent les trois opéras les plus connus du compositeur :
Marguerite (Faust), Juliette (Roméo et Juliette) et Sapho chantant les louanges de leur créateur. Parmi les
divers instruments de musique ornant le piédestal se trouve un orgue. Le petit ange qui en jouait a disparu
à la suite d'un acte de vandalisme.
Antonin Mercié (1845 - 1916), était très apprécié pour la facture soignée de ses sculptures. Le sculpteur devint
célèbre dès le début de la III eme République grâce au succès de son Gloria Victis, aujourd'hui conservé au
musée du Petit Palais
L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris

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38. Parc Monceaux. - Monument d'Ambroise Thomas.....

Ce monument à Ambroise Thomas (1811-1896) a pour origine l’initiative des directeurs de l’Opéra, MM. Bertrand
et Gailhard, qui organisèrent en 1896 une soirée de gala afin de réunir des fonds pour honorer la mémoire du
compositeur Ambroise Thomas. Celui-ci connut la célébrité grâce à deux opéras : Mignon d’après Goethe en 1866,
puis Hamlet, d’après Shakespeare, en 1868. Une fois encore, c’est l’image du créateur en méditation qui est
représentée. Il est ici isolé du monde, assis en haut d’un rocher, contemplant en contrebas Ophélie sombrant
dans la folie. Il s’agit de l’une des dernières réalisations d’Alexandre Falguière. Celui-ci avait connu la gloire sous
le Second Empire avec des réalisations telles que Le Vainqueur de combat de coq, Tarcisus martyr chrétien
(Musée d’Orsay) ou Diane (Toulouse, musée des Augustins). À Paris, il réalisa un monument à Honoré de Balzac,
square Georges Guillomin, et le monument à Louis Pasteur, place de Breteuil. Le monument à Ambroise Thomas
est inauguré l’année même de la mort du sculpteur, en 1900.
L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris

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39. Parc Monceaux. - La Naumachie (1).....

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris
[...] Le hameau de Monceaux ou Mousseaux, aujourd'hui englobé dans l'enceinte de Paris, était, sous Mouis XVI, une dépendance de la paroisse de Clichy. En 1778, le duc de
Chartres y fit construire une maison de plaisance, devant laquelle fut dessiné un parc où l'on s'efforça de réunir tout ce que l'art des jardins, que la mode était en train de
renouveler, put imaginer de plus singulier.
<<Mgr le duc d'Orléans, écrivait Dulaure en 1787, possède à Mousseaux un jardin très curieux. On y remarque tout ce que l'esprit peut concevoir pour embellir un séjour de cette
orte : des ruines gothiques, des ruines grecques, de superbes peristyles, des bains ornés de statues, des kiosques, des obélisques. Ces objets de magnificence, ruinés ou existants,
contrastent avec la rusticité villageoise et l'aimable irrégularité des campagnes : auprès d'eux, des bosquets, des coteaux de vignes, des rochers, des ruisseaux et des sentiers qui
serpentent, des cabanes, des groupes d'arbres forment le paysage le plus piquant. Ce joli parc a été exécuté d'après les dessins de Mr Carmontel.>> [...]
Source : Les Jardins et les Squares, Robert Hénard, H.LAURENS·PARIS - 1911

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40. Parc Monceaux. - Monument de Guy de Maupassant

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris
Les statues en marbre du parc Monceau

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41. Parc Monceaux. - La Naumachie (2)

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42. Parc Monceaux. - Vue générale

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43. Bois de Boulogne - Le Lac

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44. Parc Monceaux - Le Petit Pont

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45. Bois de Vincennes. - Le Lac

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris

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46. Jardins du Luxembourg. - La Fontaine Médicis

L.J. & Cie, édit., Angoulême-Paris

La fontaine Médicis est une fontaine du jardin du Luxembourg à Paris. Sa construction, vers 1630, est une commande de la reine Marie de Médicis, veuve d'Henri IV, à
l’ingénieur florentin Thomas Francine. D'abord appelée « grotte du Luxembourg », elle a connu plusieurs modifications et, au XIXe siècle, est même déplacée dans le
jardin à la suite du percement de la rue de Médicis, effectué dans le cadre des travaux d'urbanisme du préfet Haussmann à Paris.
Ce qui n'était alors qu'un portique de style italien devient une fontaine. Auguste Ottin y ajoute un groupe de trois personnages mythologiques intitulé Polyphème
surprenant Galatée dans les bras d'Acis.
Polyphème, cyclope légendaire, est amoureux de Galatée, jeune et belle déesse marine. Accroupi sur un rocher, une peau de bête sur le dos, il observe Galatée dans les
bras d'Acis. Tous deux sont langoureusement allongés au bord de l'eau.
Le contraste est saisissant entre la masse énorme et sombre du cyclope et la blancheur du duo des deux jeunes gens. De plus, la forme même du bassin procure l'illusion
que le plan d'eau est incliné.
Lors du déplacement et de la reconstruction du monument en 1862, la fontaine de Léda, autrefois située à l'angle des rues du Regard et de Vaugirard, supprimée par le
percement de la rue de Rennes, a été remontée contre la face arrière.
Source : Wikipédia..