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Près de la Fontaine Ste Marie, dans le haut de la Rue Louis Ricard, ce musée est situé dans un petit jardin qui s'ouvre également sur la rue Beauvoisine, et fit mes délices enfant.
Dans la même bâtisse, se trouve également le Musée d'Histoire Naturelle.
Si vous êtes de Passage à Rouen, n'hésitez pas, ces musées recèlent des trésors.
"L’ennemi est con, il croit que c’est nous l’ennemi alors que c’est lui." Pierre Desproges "Runners run because they like running. Joggers jog because they like food."
Cette piscine avait pris le nom du Boulevard Gambetta à l'entrée duquel elle fût construite vers 1935. Il m'est arrivé, enfant, d'y passer des journées, avec mon frère, nous emportions un bon casse-croûte dévoré à l'abri des regards, dans les cabines spacieuses.
Très longtemps la seule piscine de Rouen après les bains publics en Seine, elle fut démolie en 1991, trop vieille, son béton était fatigué...
L'intention de l'Architecte n'est pas flagrante au premier coup d'oeil, mais si vous observez bien le bâtiment, il s'agit en fait de la représentation de l'avant d'un paquebot, avec son "château".
Depuis la fermeture de L'Hôtel Dieu, que je présente après, il est le seul Hôpital actuel de Rouen (C.H.U.), si l'on excepte toutes les cliniques bien entendu.
Ce bâtiment n'a pas changé, par contre, il s'est agrandi au-delà, et très largement, sous forme de nombreux bâtiments offrant tous les services.
Il fut rebaptisé en 1953 "Charles Nicolle" , médecin Rouennais (1866-1936), prix Nobel de médecine en 1928.
Cet Hôpital est remarquable, car c'est là que je suis né !
Vers 1988, il fut fermé définitivement, puis la Préfecture de Rouen quitta ses bâtiments modernes de la rive gauche et s'y installa en 1993.
L'architecture tant extérieure qu'intérieure vaut le coup d'oeil car entièrement restaurée.
On remarque le long du mur, la présence d'un édicule bien pratique, mais qui comme ses "congénères" a hélas disparu (la niche est restée...), mettant dans l'embarras bien des passants amateurs de bière ou de café !
Comme on peut hélas le voir, deux bêtises successives sur cette CPA : le timbre collé sur la légende, puis un horrible grattage dudit timbre pour lire cette légende